Rayon Littérature française
A l'ombre des ylangs-ylangs : roman historique

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 329 pages
Poids : 280 g
Dimensions : 15cm X 23cm
ISBN : 978-2-904255-86-1
EAN : 9782904255861

A l'ombre des ylangs-ylangs

roman historique


Paru le
Broché 329 pages

Quatrième de couverture

L'ouvrage : Un petit berger du Haut-Var, élevé « à la dure » et ayant assumé très tôt des responsabilités au-dessus de son âge, caresse le rêve fou de rejoindre ses deux frères aînés, que les hasards de la vie ont envoyés successivement au Tonkin. Ce nom magique l'obsède et tourne sans cesse dans sa tête. C'est avec un plaisir immense qu'il peut enfin le réaliser avec l'aide de ses aînés.

Ce roman est un hommage à tous ceux qui, comme lui, ont oeuvré pour créer l'empire colonial français. Qu'il y ait eu des « profiteurs » dans ce milieu-là, comme dans beaucoup d'autres, ne fait aucun doute, mais jamais une pomme pourrie dans une cagette n'a justifié que l'on les jette toutes !

La colonisation « à la française » a été, dans son ensemble, la plus constructive et la plus profitable aux pays où elle s'est appliquée. Ne faut-il pas voir là l'hérédité romaine ? L'entendre qualifiée « d'injuste » est révoltant au plus haut degré ! Non ! Mille fois non ! N'en déplaise à certains, la colonisation française n'a pas été injuste !

Biographie

L'auteur : Né dans une famille provençale d'agriculteurs et de pêcheurs, il est, dès son plus jeune âge, élevé dans l'amour du travail et confronté très tôt à des responsabilités sérieuses. Engagé en 1948 au titre de l'Infanterie Coloniale et volontaire pour servir en Extrême-Orient, il se retrouve peu après affecté à une unité combattante dans le Sud du delta du Fleuve Rouge (le Tonkin).

Profondément ému par les rares nouvelles qu'il a du Viêt-Nam, pays qu'il aime et qu'il n'a jamais oublié, dès que les conditions internationales le permettent, il a créé, avec l'aide de quelques Anciens d'Indo, comme lui, une association à but humanitaire, « Les Amis du Day », pour venir en aide aux populations au milieu desquelles il a vécu cinquante années plus tôt. Doit-on considérer comme une simple coïncidence que les événements relatés dans ses souvenirs par le « Vieux Colon », Mathias Bernard aient comme cadre cette même région de Phu Ly, des premiers contreforts de la Chaîne annamitique, de Hoa Binh et Ninh Binh ?

Avis des lecteurs

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