Rayon Essais
A qui appartient une histoire ? : des faits, des fictions, ainsi qu'une preuve contre toute vraisemblance de la vie réelle

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 103 pages
Poids : 140 g
Dimensions : 14cm X 21cm
EAN : 9782952044295

A qui appartient une histoire ?

des faits, des fictions, ainsi qu'une preuve contre toute vraisemblance de la vie réelle


Paru le
Broché 103 pages
traduit de l'allemand par Bernard Banoun

Quatrième de couverture

Comment raconter aujourd'hui ? Comment fonder une éthique artistique au droit et au devoir d'écrire sur le passé et sur la guerre ? Comment transmettre en travestissant le moins possible ? Telles sont les questions qui guident la réflexion de Norbert Gstrein.

À qui appartient une histoire ? fut écrit en réponse aux réactions souvent violentes déclenchées par la publication du roman, Le métier de tuer. Avec brio, véhémence, passion et sans craindre la polémique, Norbert Gstrein retrace ici quelques événements «réels» liés à la genèse du livre et à sa réception. Il dialogue avec des auteurs ayant travaillé sur la mémoire ou se situe par rapport à d'autres - comme Peter Handke ou Bernard-Henri Lévy - qui ont consacré aux guerres de Yougoslavie ou à la guerre en général des ouvrages de «fiction» ouvertement fondés sur des expériences réelles. Il revient aussi avec décence et respect sur la mort tragique de Daniel Pearl.

Norbert Gstrein livre ainsi une analyse passionnante des frontières entre fiction et vérité, littérature et journalisme.

Biographie

Né en 1961 en Autriche, Norbert Gstrein est un des écrivains contemporains de langue allemande les plus reconnus et les plus prometteurs. Il a été distingué par plusieurs prix littéraires. Déjà traduits et publiés en français : chez Gallimard, Un d'ici (1991), Le registre (1994), Les années d'Angleterre (2002) ; aux Editions Laurence Teper, Le métier de tuer (2005).

Avis des lecteurs

Du même auteur : Norbert Gstrein

Quand j'étais jeune

Un d'ici

Le registre

Les années d'Angleterre

Le métier de tuer

Une vague idée du début