Rayon Christianisme
Accueillir Dieu en soi : chemin de justice et de paix

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 122 pages
Poids : 147 g
Dimensions : 13cm X 20cm
ISBN : 978-2-7067-1365-1
EAN : 9782706713651

Accueillir Dieu en soi

chemin de justice et de paix


Paru le
Broché 122 pages

Quatrième de couverture

Accueillir Dieu en soi

Chemin de justice et de paix

L'accueil de Dieu en soi peut-il nourrir les chrétiens engagés aujourd'hui pour la paix et la justice ? Pour les deux auteurs de ce livre, une vie intérieure est indispensable pour résister aux tentations de la violence et agir avec force et sagesse pour la dignité humaine.

Rose-Marie Berty évoque l'exemple de trois religieux, Laurent de la Résurrection, Vincent de Paul et Élisabeth de la Trinité : grâce à leur intimité avec le Dieu Trinité, leur charité s'est montrée forte et créatrice. Alain Richard, partant de son expérience personnelle de la non-violence, témoigne que le développement d'une vie spirituelle aide à ajuster l'écoute et le regard que l'on porte sur soi-même et les autres.

Voici un guide précieux pour les personnes engagées dans la vie de notre société.

Biographie

Rose-Marie Berty, titulaire d'un CAPES de lettres classiques, enseigne le latin et le grec à la Faculté de théologie de Toulouse. Laïque franciscaine, elle mène des recherches sur les spiritualités proches de celle de saint François d'Assise et poursuit une formation biblique.

Alain Richard est un frère franciscain engagé dans des actions non-violentes depuis cinquante ans. Il a lancé à Toulouse les Cercles de Silence pour dénoncer l'enfermement des sans-papiers dans les centres de rétention administrative. Il est l'auteur d'un livre d'entretiens avec Christophe Henning, Une vie dans le refus de la violence (Albin Michel, 2009).

Avis des lecteurs

Du même auteur : Alain J. Richard

En Dieu, il n'y a pas de violence : la force qui nous habite

Piliers pour une culture de la non-violence

Une vie dans le refus de la violence : le fondateur des cercles de silence

Coeur des violences : des républiques privées