Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 276 pages
Poids : 310 g
Dimensions : 14cm X 19cm
ISBN : 978-2-84805-173-4
EAN : 9782848051734
Les libraires en parlent
Une ode à la sensualité féminine !
Avec un titre qui contient tout un monde de promesses, Léonor de Récondo nous ouvre les portes du siècle passé. En apparence, la vie provinciale d'un couple bourgeois. En apparence seulement. Dès les premières pages, le schéma vacille. Les rôles sont confus. Sur le devant de la scène, un trio se donne à voir. C'est Céleste, la femme de chambre qui tient la partition et viendra libérer Victoire, épouse d'Anselme, corsetée corps et âme dans les conventions sociales.
Léonor de Recondo, violoniste classique de grand renom, manie la plume aussi bien que l'archet et nous offre avec "Amours" une véritable symphonie amoureuse.
Après le magnifique Pietra Viva, Léonor de Récondo change radicalement d'époque, de genre et de style !
Ses Amours (dont le pluriel est très significatif...) commencent comme un roman de la bourgeoisie de province qu'aurait sans doute applaudi Balzac, avant d'évoluer de manière inattendue vers une quête passionnelle et audacieuse de liberté féminine.
La confirmation d'un talent superbe !
Amours c'est l'événement littéraire de cette rentrée 2015. Un livre assurément pour "tous"
Quatrième de couverture
Amours. Nous sommes en 1908. Léonor de Récondo choisit le huis clos d'une maison bourgeoise, dans un bourg cossu du Cher, pour laisser s'épanouir le sentiment amoureux le plus pur - et le plus inattendu. Victoire est mariée depuis cinq ans avec Anselme de Boisvaillant. Rien ne destinait cette jeune fille de son temps, précipitée dans un mariage arrangé avec un notaire, à prendre en mains sa destinée. Sa détermination se montre pourtant sans faille lorsque la petite bonne de dix-sept ans, Céleste, tombe enceinte : cet enfant sera celui du couple, l'héritier Boisvaillant tant espéré.
Comme elle l'a déjà fait dans le passé, la maison aux murs épais s'apprête à enfouir le secret de famille. Mais Victoire n'a pas la fibre maternelle, et le nourrisson dépérit dans le couffin glissé sous le piano dont elle martèle inlassablement les touches.
Céleste, mue par son instinct, décide de porter secours à l'enfant à qui elle a donné le jour. Quand une nuit Victoire s'éveille seule, ses pas la conduisent vers la chambre sous les combles...
Les barrières sociales et les convenances explosent alors, laissant la place à la ferveur d'un sentiment qui balayera tout.