Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 236 pages
Poids : 338 g
Dimensions : 14cm X 22cm
ISBN : 978-2-7103-6985-1
EAN : 9782710369851
Aristote, mon père
Les libraires en parlent
La jeune Pythias est à l'image de son célèbre père. Intelligente et vive, elle possède l'amour de la connaissance et des études. Si ses idées séduisent, elle n'en demeure pas moins une femme.
Cette histoire n'est pas contemporaine, elle se déroule dans l'Antiquité. Pythias est la fille d'Aristote, philosophe grec et génie de son temps. Lorsque ce dernier meurt, elle comprend que son éducation, dans une société dominée par les hommes, ne lui offrira jamais plus qu'un rôle secondaire...
Loin des stéréotypes sur le monde antique, Annabel Lyon nous dresse le portrait captivant d'une jeune femme qui doit prendre en main sa destinée.
Vous serez séduit par le caractère frondeur et attachant de la jeune Pythias : un roman aussi plaisant qu'érudit, que vous ne lâcherez plus !
Quatrième de couverture
À propos de « Le juste milieu »
« D'une érudition exempte de toute cuistrerie, la Canadienne Annabel Lyon réussit à rendre contemporaines la vie et l'oeuvre de personnages vieux de vingt-quatre siècles - la crudité de certains dialogues aide à l'entreprise. Son premier roman est une merveille de finesse et d'intelligence : ce n'est certes pas tous les jours qu'on est invité, même comme lecteur, à se promener dans les rues de Pella au bras des deux plus grands génies de leur temps. » Jean-Christophe Buisson, Le Figaro Magazine.
Aristote, mon père
Pythias, la fille d'Aristote, a été élevée à l'égal des hommes. Elle fait figure d'exception à Athènes, puis en Macédoine où elle est contrainte de s'exiler : c'est elle, et non son frère cadet, qui assiste Aristote dans ses travaux, provoque les collègues de son père par ses remarques pointues, et se rêve en philosophe, scientifique ou sage-femme. La mort d'Aristote disperse ses biens et sa famille à travers la Macédoine, laissant Pythias seule, en décalage avec cette société qui nie l'existence d'une conscience féminine, et l'oblige à se confronter à la réalité d'un monde dont elle s'était toujours tenue écartée.
Après Le Juste Milieu, qui évoquait la relation entre le jeune Alexandre le Grand et son précepteur Aristote, Annabel Lyon renouvelle le défi ambitieux d'écrire l'Antiquité d'une plume actuelle et spontanée. Aristote, mon père exhale le soufre des temples, le sang des femmes et les larmes de la tragédie.