Rayon Langues et environnement social
Atelier du roman (L'), n° 118. Du langage dit inclusif

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 192 pages
Poids : 390 g
Dimensions : 17cm X 25cm
ISBN : 978-2-283-04029-4
EAN : 9782283040294

Du langage dit inclusif


Série | Atelier du roman (L')
Paru le
Broché 192 pages

Quatrième de couverture

La question de l'identité, qui devrait être secondaire par rapport à celle de la liberté d'agir, a contribué à fausser le débat.
Beiinda Cannone.

Admettons qu'il existe une réalité du ressenti. Ce constat n'implique cependant pas l'annulation de la différence des sexes, le genre et l'identité sexuelle se distinguant radicalement l'un de l'autre.
Jean-Michel Delacomptée.

Beaucoup d'universitaires qui, à titre personnel, n'ont aucune appétence pour la langue inclusive, suivent malgré tout ses prescriptions, par conformisme et pour « ne pas avoir d'ennuis ».
Olivier Rey.

L'inclusif n'est pas une langue car c'est beaucoup moins : une graphie postmoderne aux règles peu claires mais aux vertus quasi religieuses, qui marque une régression du langage vers l'obscurantisme et le provincialisme.
Benoît Duteurtre.

La parlance inclusivo-diversitaire devenue langue officielle de l'Union Européenne reproduit les tromperies de la novlangue communiste.
Sylvie Perez.

La langue ne dit pas le réel, elle représente une tentative désespérée de combler le vide résultant du langage, ce dernier compris comme ce qui fait écart avec le réel et le corps.
Philippe Renonçay.

Cette écriture a essentiellement été adoptée par des administrations, et en particulier par les universitaires qui se coupent ainsi encore un peu plus de la société.
Jean-Yves Masson.

Le Malentendu, dans toutes ses déclinaisons - politique, linguistique, philosophique, historique, biographique, éthique et esthétique - est, ironie du sort, le thème dominant de toute l'oeuvre de Milan Kundera.
Massimo Rizzante.

La langue nationale ne peut être préservée que si elle reste ce que Manent appelle « l'instrument d'une proposition pour l'universel », sinon elle devient elle-même une sorte de patois.
Jacques Dewitte.

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