Rayon Littérature française
Au Tonkin : suivi d'extraits de sa correspondance et d'un choix de ses nouvelles

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 280 pages
Poids : 385 g
Dimensions : 14cm X 22cm
ISBN : 978-2-296-11660-3
EAN : 9782296116603

Au Tonkin

suivi d'extraits de sa correspondance et d'un choix de ses nouvelles


Collection(s) | Autrement mêmes
Paru le
Broché 280 pages
édition Frédéric Da Silva

Quatrième de couverture

Au Tonkin

Romancier, avant de devenir correspondant de guerre pour le compte du Figaro, Paul Bonnetain rapporte du Tonkin un récit qui s'apparente davantage au journal de route d'un écrivain en quête d'un style qu'à un reportage. Texte précurseur publié en 1884, Au Tonkin raconte aussi les prémices de la colonisation de l'Indochine, sujet d'un débat passionné à l'Assemblée et dans la presse. À ce titre le texte n'est pas exempt de jugements hâtifs, compensés par un souci de vraisemblance qui lui donne une valeur de témoignage. Oeuvre multiforme, au genre incertain, Au Tonkin livre également une réflexion sur le pouvoir de l'écriture et sur sa capacité à rendre compte du réel lorsque les repères sont faussés, lorsque l'idéologie entre en tension avec les intentions esthétiques.

En annexes : les lettres tonkinoises de Paul Bonnetain à Marie Colombier et un choix de ses nouvelles orientales.

« Elle est dure, la tâche de dépeindre ; elle est sauvagement amère, la joie de noter échos et souvenirs, quand on pense qu'à vous lire, on ne verra point comme vous avez vu [...]. »
Paul Bonnetain

Biographie

Frédéric Da Silva enseigne la langue et la littérature françaises à l'université de Guelph (Canada). Auteur d'une thèse consacrée à la vie et l'oeuvre de Paul Bonnetain intitulée Aux confins du naturalisme : Paul Bonnetain (1858-1899), il prépare une biographie de cet écrivain au destin méconnu, ainsi qu'une édition de sa correspondance et une étude sur les liens entre naturalisme et littérature coloniale.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Paul Bonnetain

Charlot s'amuse...

Robert Herbin : le football, mot à maux