Batman, dark victory. Vol. 1

De Jeph Loeb, Tim Sale,

Chez Semic

Série | Batman, dark victory

Collection(s) | Semic books

Paru le 21/10/2002

Broché

Quatrième de couverture

La mort du Romain a décapité le crime organisé de Gotham. Malheureusement, cette victoire à la Pyrrhus a laissé les forces de l'ordre blessées et meurtries. Jim Gordon, désormais commissaire, n'oublie pas la disparition du procureur Harvey Dent, son ami, qui, défiguré, est devenu le monstrueux Pile-ou-Face.

Mais la vie reprend son cours et la police, dirigée par Gordon, travaille dans un accord tacite avec Batman, le mystérieux justicier qui a commencé à nettoyer les rues de Gotham.

Les plaies cicatrisent...

Jusqu'au jour où Janice Porter, récemment nommée au poste de procureur, décide de rouvrir le dossier du Romain. Les meurtres de Holiday, pourtant classés, font l'objet d'une nouvelle enquête. Ce faisant, elle remue les eaux troubles du passé de Gotham, réveillant des fantômes qui ne demandaient qu'à rester endormis.

La famille du Romain, mafia italienne, le spectre de Pile-ou-Face et l'ombre de Batman tournent autour d'un commissaire Gordon en plein drame familial...

Biographie

Grand collectionneur de comics devant l'éternel (il a deux garages, l'un pour sa voiture, l'autre pour ses illustrés), Jeph Loeb est un scénariste renommé qui a écrit les aventures des plus grands personnages américains, des X-Men à Superman, de Daredevil à Spider-Man. Il a récemment travaillé sur Fantastic Four et signe de nombreux scénarios pour le cinéma.

Il met ici ses dialogues concis et efficaces et sa narration limpide au service du justicier de Gotham City, Batman, dans une aventure qui fleure bon le roman noir.

Ami et collaborateur régulier de Jeph Loeb, Tim Sale a réalisé avec lui de nombreux épisodes des Challengers of the Unknown, Cable, Wolverine, Batman, Superman, Daredevil ou Spider-Man. Ils reviennent aujourd'hui au chevalier masqué, pour explorer les ruelles sombres où il fait régner la justice. Développant les éclairages expressionnistes, Sale joue sur les clairs-obscurs et les lumières contrastées, donnant au récit un aspect cinématographique que renforcent les gros plans et les silences.