Rayon Policiers (romans ou nouvelles)
Bon anniversaire, Gabriel !

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 289 pages
Poids : 218 g
Dimensions : 11cm X 18cm
ISBN : 978-2-7427-9135-4
EAN : 9782742791354

Bon anniversaire, Gabriel !


Collection(s) | Babel
Paru le
Broché 289 pages
traduit du portugais (Brésil) par Vitalie Lemerre et Eliana Machado

Quatrième de couverture

Bon anniversaire, Gabriel !

Une nouvelle enquête du commissaire Espinosa

Gabriel, vieux garçon vivant chez sa mère et fonctionnaire tranquille, vient expliquer au commissaire Espinosa qu'il craint de commettre un meurtre. C'est en effet ce que lui a prédit un devin moins d'un an auparavant, et le délai évoqué touche à sa fin.

Comment et de quoi inculper quelqu'un qui n'a rien fait ? Espinosa, précautions obligent, s'intéresse à l'affaire, même si rien ne justifie une arrestation ou un interrogatoire en règle. Il rencontre ainsi Olga, collègue de Gabriel, et la belle Irène, amie de celle-ci, dont la compagnie ne lui déplaît pas.

Gabriel devient nerveux, angoissé, et cela n'échappe pas à sa pieuse maman possessive qui décide de mener elle aussi son enquête pour s'opposer aux forces du mal. Et voilà qu'un premier cadavre, sans doute lié à cette affaire, apparaît dans le paysage de Rio de Janeiro que commence à balayer le vent de sud-ouest annonciateur d'hiver et de malaise.

Biographie

Né à Rio en 1936, Luiz Alfredo Garcia-Roza est passé au roman policier après avoir enseigné la théorie psychanalytique pendant trente-cinq ans à l'université fédérale de Rio. Il est considéré aux Etats-Unis comme le Raymond Chandler brésilien. La série des enquêtes d'Espinosa est disponible chez Actes Sud et en collection Babel noir.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Luiz Alfredo Garcia-Roza

Une nouvelle enquête de l'inspecteur Espinosa. Objets trouvés

Une enquête de l'inspecteur Espinosa. Le silence de la pluie

Une fenêtre à Copacabana

Une enquête de l'inspecteur Espinosa. Le silence de la pluie

Une enquête de l'inspecteur Espinosa. Objets trouvés

Une fenêtre à Copacabana