Rayon Biographies ro1ées
Ca saigne encore : l'incroyable vie de Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 331 pages
Poids : 382 g
Dimensions : 15cm X 22cm
ISBN : 978-2-38482-060-3
EAN : 9782384820603

Ca saigne encore

l'incroyable vie de Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Chez P. Rey

Collection(s) | Roman étranger
Paru le
Broché 331 pages
traduit de l'italien par Nathalie Bauer
et du russe (passages inédits) par Paul Lequesne

Quatrième de couverture

Adolescent, Paolo Nori dévore un livre sans couverture ayant appartenu à son grand-père maçon : Crime et Châtiment, de Dostoïevski. Il est foudroyé. Ce choc le décide à se lancer dans des études de russe, puis dans la traduction, l'enseignement et l'écriture. En 2020 il entreprend de rédiger un ouvrage sur son écrivain de prédilection en se mettant lui-même en scène dans cet exercice. Dépeignant Dostoïevski comme un archer dont les flèches « font saigner », parce qu'elles touchent le fond de l'âme, l'universel, il découvre, malgré le fossé des années, d'étranges correspondances entre la vie du Russe et la sienne.

L'ironie, l'humour et l'anticonformisme de Nori mêlés au sérieux de la biographie produisent un cocktail explosif. S'incarnent, sous les yeux du lecteur, non seulement Dostoïevski, mais aussi Tourgueniev, Pouchkine, Gogol, Tolstoï et autres Leskov, avec autant de force que l'écrivain italien en personne et les membres de son entourage - ses parents, sa compagne surnommée « Togliatti » comme l'ancien secrétaire du PCI dit « le Meilleur » ou leur fille « la Bataille » -, dont nous sont contés les joies et les déboires.

Ce livre plein de vie et d'allégresse est avant tout une déclaration d'amour à la lecture, capable de changer le cours d'une vie.

Biographie

Né en 1963, Paolo Nori a étudié le russe à l'université de Parme après avoir travaillé comme comptable. Il enseigne la traduction du russe à Milan et a publié des dizaines de traductions, de romans et d'essais. Ça saigne encore a été finaliste du prestigieux prix Campiello en 2021.

Nathalie Bauer a traduit plus de cent cinquante ouvrages italiens, tant classiques (Primo Levi, Mario Soldati) que récents (Antonio Pennacchi, Paolo Giordano). Elle est également romancière.

Né en 1961, Paul Lequesne a délaissé après trente ans le métier d'ingénieur pour celui de traducteur littéraire.
Il a livré depuis une septantaine de traductions, essentiellement du russe. Parmi les dernières en date : Les abeilles grises d'Andreï Kourkov (éditions Liana Levi), La faim de Sergueï Semionov (éditions Les Lapidaires), Les chants furieux de Guillaume du Vintrais de I. Kharon et I. Weinert (éditions Ginkgo).

Avis des lecteurs

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