Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 208 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 17cm X 24cm
ISBN : 978-2-84393-115-4
EAN : 9782843931154
Céder ma boîte ?
mais c'est mon bébé !
des patrons racontent comment ils ont cédé, transmis, repris une entreprise
Quatrième de couverture
Céder ma boîte ? mais c'est mon bébé !
Dans les dix prochaines années, 500 000 entreprises seront sur le marché de la transmission en France. Si elles disparaissent ou sont aspirées par de grands groupes industriels qui s'empresseront de réduire les effectifs, ce seront, chaque fois, trois, dix, vingt salariés qui rejoindront la cohorte des chômeurs. Et autant de familles prises dans l'engrenage des gros soucis.
Alors, transmettre, oui. Mais pourquoi le mouvement est-il donc si mou ? Les freins sont d'abord psychologiques : surtout si on l'a fondée, il est difficile de céder son entreprise, de vendre son « bébé ».
Dans le Nord - Pas-de-Calais, le nombre d'artisans, de commerçants, de petites et moyennes entreprises, est particulièrement élevé. Et plus d'un quart des patrons est âgé de 55 ans et plus. La question de la transmission s'y pose donc de façon aigue.
Dans ce livre, les anciens et les nouveaux dirigeants de huit entreprises de cette région racontent comment et pourquoi ils ont transmis ou repris. Ils livrent une masse de conseils clés, puisés dans leur expérience, pour réussir la cession ou la reprise d'une entreprise, où que ce soit en France.
Depuis le changement de direction, cinq de ces huit sociétés ont déménagé dans des locaux plus spacieux et six ont embauché au moins une personne. Preuves concrètes que l'apport de sang neuf énergise une entreprise.
Les cédants qui réussissent l'opération sans y perdre leur âme ne sautent pas dans le vide. Ils se posent des questions existentielles. Ils préparent leur sortie avec un bureau de rapprochement des entreprises, avec un cabinet de cession/acquisition, avec un avocat, un expert-comptable, un notaire.
On ne cède, la plupart du temps, qu'une seule fois dans sa vie. On ne reprend pas dix fois non plus. Pas question de se louper.