Quatrième de
couverture
La chaux est l'encre des écrits divins. C'est donc à un Dieu à la main coupée, à ce point humain, que le poète s'adresse comme limite extrinsèque de tout savoir. Une terre, une chaleur organique, la chaux, entre délire et prophétie, était entrée en lui dès les premiers jours de sa vie, dans cet «espace du dedans», démesuré, insoupçonné, intemporel, qui est la vraie mesure de l'homme...