Paru le 15/09/2005 | Broché 167 pages
Tout public
Pendant 12 ans, Piero Kenroll fut le pape de la presse rock en Belgique, lu chaque semaine par des dizaines de milliers de fidèles qui, dans les pages de Télémoustique, dévoraient littéralement ses chroniques, critiques et petites news. Piero est devenu un mythe, une icône. Tous les teenagers d'alors s'en souviennent!
Mais avant d'être cette figure incontournable, Piero Kenroll (Pierre Vermandel de son vrai nom) fut un gamin à la recherche d'une société non-conformiste qui bouge, ose et s'amuse. Il a vu éclore le rock en Belgique; musique qu'il a approchée avec curiosité avant de l'adopter sans retenue.
Remerciements
A Jean-Pierre «Zorbec» Pauwen pour m'avoir toujours épaulé et sans qui tout ça ne serait pas arrivé.
A Jacques «John» Abbeloos sans qui j'installerais sans doute toujours des fontaines.
A Michelle Attanasio, Mick Lemoine, Henry Tombeur et Gino Zamboni, anciens des Aigles, qui m'ont relu et évité de raconter trop de bêtises...
A Chantal Piret qui a retapé mes brouillons à la machine il y a quelques années.
A Natacha Peperstraete, ma «dream lover», qui a mis la première version du livre en fichier informatique.
A Patrick Van Nieuwlandt pour ses encouragements et son enthousiasme qui m'ont poussé à tout réécrire.
A André Viollier qui, le pauvre, a corrigé mes textes à Télé-Moustique durant des années et a continué ici.
A Denis Asselberghs pour avoir si bien respecté l'esprit de ce livre en l'éditant.
A Jean-Noël Coghe pour ses précisions sur certains événements.
... et pour leurs photos, à Zorbec, Herman Selleslags, Jean-Noël Coghe, Martial Trouilliez et Stroff.
Fondateur du club des Aigles, agitateur anti-yéyé, organisateur de concerts, DJ sans complexe et sans limite, il nous raconte cette genèse du rock perçue comme un véritable choc culturel. Au fil de pages, l'on voit apparaître, entre Cousins et Wallace Collection, de futurs monstres sacrés, Kinks, Stones, Beatles, Pink Floyd, Animals...
Sensible et passionné, le témoignage de Piero touche au coeur comme aux tripes, mais sans sombrer dans la nostalgie: demain est un autre jour et le rock est toujours bien vivant!
