Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 249 pages
Poids : 305 g
Dimensions : 14cm X 20cm
EAN : 9782350130750
Confessions d'un journaliste lamentable
ma nécrologie
Quatrième de couverture
Les journalistes sont-ils des imposteurs ? Les lecteurs sont-ils dupes ? Le journalisme n'est-il qu'une société d'admiration mutuelle ? Faut-il penser, avec André Comte-Sponville, que «le journalisme pousse à la médiocrité» ?
Ces questions, Guy Baret les pose avec humour et franchise dans un livre de «confessions» faussement posthumes.
Loin de toute «langue de bois», il reconnaît que le journalisme fut pour lui une activité ludique, plus futile qu'utile, et avoue s'être beaucoup trompé.
Il raconte, entre autres, comment Valéry Giscard d'Estaing lui annonça sa nomination en tant qu'éditorialiste au Figaro. Comment un directeur du Figaro l'assura que ce quotidien «a 100 000 lecteurs de trop». Comment il dut «bidonner» son grand reportage sur les traces de Jack London.
Et bien d'autres récits et anecdotes, tour à tour drôles ou choquants... Guy Baret en profite pour dresser le portrait de patrons de presse comme Robert Hersant et de certains confrères.
Un livre qui met en question la crédibilité des journalistes : on s'indignera peut-être, mais on rira surtout beaucoup !
Guy Baret fut journaliste, éditorialiste à L'Aurore, France Soir et chroniqueur au Figaro. Il est l'auteur de Comment rater l'éducation de votre enfant avec Françoise Dolto et de plusieurs pièces de théâtre.