Rayon Droit privé
De la propriété : du communisme, du socialisme et de l'impôt

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 326 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 15cm X 21cm
ISBN : 978-2-84880-040-0
EAN : 9782848800400

De la propriété

du communisme, du socialisme et de l'impôt


Paru le
Broché 326 pages

Quatrième de couverture

De la propriété

Ce livre nous le montre sous un autre jour.

Historien plus encore que juriste et journaliste, il avait publié successivement, de 1823 à 1827 une immense Histoire de la Révolution, puis, de 1845 à 1862, une Histoire du Consulat et de l'Empire, au total 25 volumes.

Dès 1833, il est élu à l'Académie française, en hommage à ces travaux.

Très en avance sur les historiens de son temps, il y soulignait en effet l'importance des faits économiques.

En 1848, il est un des chefs du parti de l'ordre qui constate les dégâts des révolutionnaires quarante-huitards et s'oppose aux utopies socialistes et communistes.

C'est à ce titre, et à ce moment de l'histoire, sous la Deuxième république, qu'il publia, en 1848, cet essai sur le Droit de propriété.

Or, celle-ci, fondement de l'ordre social, de la prospérité comme des libertés, aujourd'hui comme hier, est attaquée par les idées de gauche.

Mais elle est également rongée par l'impôt.

Doit-on tenir ce débat pour inactuel ?

Biographie

Adolphe Thiers (1797-1877) a mauvaise presse à gauche. Raison de plus pour s'y intéresser. On voit en lui l'homme politique qu'il fut, certes : ministre de Louis-Philippe, dont il se détacha, opposant libéral au Second empire, et, au lendemain du désastre de 1870, chef de l'État. Clemenceau, blanquiste et communard en 1871, a grandement contribué à sa légende noire. Il en fait « le type même du bourgeois cruel et borné ». Costume injuste, taillé pour des dizaines d'hivers.
Fondateur du régime républicain en 1871, défenseur, sous tous les régimes, des libertés parlementaires, Thiers considérait : « la République sera conservatrice ou ne sera pas. » Quand il disparaît, en 1877, l'opinion française salue en lui le libérateur du territoire.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Adolphe Thiers