Rayon Guerre d'Algérie
Deux fers au feu : De Gaulle et l'Algérie : 1961. Un crime d'Etat : Paris 23 mai 1959

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 151 pages
Poids : 270 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 978-2-915293-88-3
EAN : 9782915293883

Deux fers au feu

De Gaulle et l'Algérie
1961


Collection(s) | Ces oubliés de l'histoire
Paru le
Broché 151 pages

Quatrième de couverture

Tout n'a pas encore été révélé sur la conduite de la politique algérienne menée par le général de Gaulle. Parcourant l'année 1961, riche en événements, l'auteur analyse l'habileté du chef de l'État pour contourner ou bousculer les obstacles et les hommes placés sur son chemin.

Des témoignages incontestables et des documents inédits nous plongent au coeur du projet élyséen de partager l'Algérie en deux entités, française et algérienne, une sorte «d'Israël pied-noir», avec ses manoeuvres, ses chantages et ses intrigues qui finiront dans le sang et les larmes d'Algériens, de Français et de Tunisiens.

Ce livre se situe au coeur du conflit entre deux logiques : la raison d'État contre la recherche de la vérité au service de l'Histoire. Tel l'assassinat, par l'OAS, de six dirigeants des Centres sociaux éducatifs créés par la déportée résistante Germaine Tillion. Le lecteur découvrira avec stupéfaction la responsabilité de la délégation générale à Alger, fourvoyée avec les membres les plus bruts de l'OAS.

Lire Deux fers au feu et ses révélations inédites et «surprenantes» est indispensable pour qui veut découvrir le fil exact des arcanes de la politique ayant mené à l'indépendance de l'Algérie.

Biographie

Jean-Philippe Ould Aoudia est né le 4 septembre 1941 à Alger. Médecin à la retraite il est l'auteur de plusieurs ouvrages aux éditions Tirésias. Et a collaboré à de nombreuses publications sur la guerre d'Algérie. Il préside l'association Les Amis de Max Marchand, de Mouloud Feraoun et de leurs Compagnons qui honore l'oeuvre et la mémoire de six dirigeants des Centres sociaux éducatifs - créés par Germaine Tillion dont les cendres entrent au Panthéon en mai 2015 -, assassinés par l'OAS sur leur lieu de travail et dans leur mission d'éducation, «victimes de leur engagement pour les valeurs de la République et pour l'indépendance de l'Algérie dans une relation fraternelle avec la France» [Extrait de l'inscription gravée sur la plaque commémorative au ministère de l'Éducation nationale].

Avis des lecteurs

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