Diana, une mort annoncée

Le portrait psychologique de deux êtres en fuite.

Un retour sur l'hystérie de l'époque.

L'enquête Franco-Britannique

Nicholas Farrell et Marc Roche révèlent que les paparazzi étaient plus nombreux sur les lieux que l'enquête ne le dit, qu'une moto et une voiture sombre auraient été impliquées dans l'accident, qu'Henri Paul n'était pas alcoolique, que ce ne serait pas son sang qui a été analysé, qu'il aurait travaillé pour les Renseignements généraux et possédé jusqu'à huit comptes en banque, que les autorités françaises et britanniques n'ont pas nié que Diana était enceinte, que Dodi a retiré l'équivalent de 1 500 euros juste avant le drame, qu'il craignait de mourir et qu'il a tout fait pour fuir la mort...

Le témoignage inédit de Rita Rogers

Nicholas Farrell et Marc Roche révèlent aussi que, le 12 août 1997, la voyante Rita Rogers avait prédit à Dodi un danger se présentant sous la forme d'une voiture noire. Dodi a-t-il tenu compte des avertissements de Mme Rogers ? Si oui, de quelle manière ? Est-ce pour cette raison qu'il a insisté, ce soir du 30 août 1997, au moment de quitter le Ritz, pour changer de voiture et de chauffeur, provoquant ainsi sa propre mort, celles de la princesse et d'Henri Paul ? Pour la première fois, Rita Rogers raconte.

L'accident était annoncé

Cent quinze éléments pour démontrer que la mort de Diana était annoncée, neuf ans d'investigation pour établir que l'enquête française n'explique pas tout, vingt-quatre heures reconstituées minute après minute avant le crash, plus de cent témoignages recueillis, confrontés et analysés... et 464 pages pour explorer en détail les événements qui ont provoqué le drame. Des centaines de zones d'ombre, d'incohérences et de mensonges qui signifient que, s'il s'agit bien d'un accident, il était annoncé...