Rayon Histoire locale et régionale
Dictionnaire des morts de 1914-1918 : département d'Ille-et-Vilaine

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 376 pages
Poids : 350 g
Dimensions : 21cm X 30cm
ISBN : 978-2-84766-642-7
EAN : 9782847666427

Dictionnaire des morts de 1914-1918

département d'Ille-et-Vilaine


Paru le
Broché 376 pages
édition Groupe Amitiés généalogiques Tournaisis
Tout public

Quatrième de couverture

Dictionnaire des morts de 1914-1918

Département de l'Ille et Vilaine

Le 11 novembre 1918, alors que la guerre s'achève, le département pleure ses morts. Près de 24 000 Bretilliens ont perdu la vie dans les tranchées.

Dès lors un devoir de mémoire s'impose aux survivants, qui vont célébrer le sacrifice des combattants morts pour la France en édifiant dans la plupart des communes un monument « pour qu'il n'y ait plus jamais ça ». Mais au-delà de ce devoir de mémoire, c'est l'ensemble de la société Bretillien qui est confronté aux profonds bouleversements économiques et politiques engendrés par le premier conflit mondial.

La Bretagne a particulièrement souffert du premier conflit mondial : 120 000 combattants, soit 22 % des mobilisés (contre 16 à 17 % sur le plan national) y ont perdu la vie.

Près de 108 000 soldats, natifs du département, ont combattu pendant la Grande Guerre. Les premiers ont quitté la Bretagne dès le 4 août 1914. Nés en Ille-et-Vilaine, ils ont été mobilisés pendant la Première Guerre mondiale. Une partie de ces hommes a été enregistrée hors du département, dans les régiments de la Manche ou de la Mayenne, mais 108 000 Bretilliens, soit près d'un habitant de l'Ille-et- Vilaine sur six ont fait cette guerre.

24 000 morts, c'est l'estimation des pertes sur ce contingent de 108 000 soldats, ce qui place l'Ille-et-Vilaine au 15e rang des départements français comptant le plus de morts. Le fait d'avoir trois régiments d'artillerie à Rennes peut expliquer en partie que le tribut payé n'ait pas été plus lourd (les fantassins étaient plus exposés que les artilleurs). De même, les côtes du département, moins étendues que celles des départements voisins, expliquent un nombre de marins engagés et tués plus faibles.

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Du même auteur : Gérard Jeance