Fiche technique
Format : Broché
Poids : 400 g
Dimensions : 21cm X 28cm
EAN : 9783484506039
H3
Quatrième de couverture
« Un événement majeur vient d'avoir lieu dans le domaine des recherches linguistiques médiévales. .., le volume G du DEAF est devenu complet... ; un ouvrage d'une qualité scientifique indiscutable. » - hans lagerqvist, Revue Romane 1997
« Bref, l'éclat du jeune dictionnaire fait pâlir tous les devanciers.... Le dictionnaire a trouvé un rythme, la respiration de l'ouvrage est celle d'un être en pleine santé.... Pour les radicaux et les mots qui se réalisent dans notre langue avant le 15e siècle (et cela fait beaucoup !), le DEAF est devenu l'ouvrage de référence par excellence. Soulignant sa propre incomplétude chaque fois que cela est nécessaire, corrigeant (parfois) et englobant (toujours) dans une confraternelle intelligence ceux dont l'activité s'exerce dans les mêmes domaines, il est tout à la fois le dictionnaire que l'on consulte avant les autres, et celui qui inspire le désir de retourner les voir. La richesse et l'architecture de ses articles change notre perception des langues, vie et mentalité d'oil (superbe article GUÉ). Elle amène aussi à réfléchir sur la pratique de l'étymologiste et le labeur du lexicographe. » - may plouzeau, Revue des Langues Romanes 1997
« Le DEAF nous a rendu des services énormes. » - leena lofstedt, Vox Romanica 1997
« On appréciera la rapidité de publication de G9-G10. Ce fascicule, comme les précédents, appelle de grands compliments... L'abondance des termes techniques relevés et bien expliqués (notamment dans le domaine du vocabulaire des métiers et de l'artisanat) constitue un des grands mérites du dictionnaire.... Il faut ajouter que l'interprétation des mots délicats est faite avec perspicacité, que dans les cas les plus importants des vérifications sont opérées sur les manuscrits.... D'une manière générale dans l'interprétation du lexique il est difficile d'aller plus loin et de faire mieux. » - Philippe Ménard, Zeitschrift fur Romanische Philologie 1998
« Le DEAF, une fois terminé, sera le meilleur dictionnaire de l'ancien français.... Mais, pour ce faire, il y avait et il y a un prix à payer. Ce prix consiste d'abord dans l'abnégation professionnelle la plus totale dans un monde scientifique et universitaire, où le plus souvent le travail de bénédictin n'est plus exécuté par des moines pieux qui visent plus loin que le siècle. » - franz lebsanft, Revue de Linguistique Romane 1998
« A peine ont-ils terminé le volume G avec le fascicule G9-G10 que Frankwalt Möhren, Thomas Stadtler, Stephen Dorr, Martina Fietz-Beck et leurs collaboratrices nous offrent maintenant le premier fascicule du volume H. On retrouve ici les fruits de leur travail qui est devenu une tradition : réflexion approfondie sur l'étymologie, précision sur l'évolution des emplois, critique des sources, dégagement d'un sens principal qui sous-tend les occurrences variées, examen minutieux des hapax. Quand on pense au nombre restreint des rédacteurs, on ne peut qu'admirer le rythme accéléré de leur publication qui semble être en un sens comme un contre-la-montre. Le DEAF qu'il faut lire et relire sans cesse... » - Takeshi Matsumura, Revue de Linguistique Romane 1998