Rayon Récits de vie
En technicolor et version originale : biographie

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 286 pages
Poids : 365 g
Dimensions : 14cm X 21cm
ISBN : 978-2-87095-323-5
EAN : 9782870953235

En technicolor et version originale

biographie


Collection(s) | Mémoires
Paru le
Broché 286 pages

Quatrième de couverture

Petite fille, Monique Hoekman, a vécu l'occupation allemande, mais aussi, ô bonheur, la Libération, précisément à la place Simonis de Koekelberg où elle habitait avec ses parents et son frère. Elle a donc connu la liesse de ce jour béni. La vie normale reprit graduellement son cours tout comme la mésentente entre les parents de Monique, ce qui n'entamait pourtant pas la gaieté proverbiale de sa maman. Verena, et le sens de l'humour de son père Léon, homme à neuvaines alcooliques, hélas, mais intelligent et très courageux.

Arrive le grand amour, celui qu'on n'oublie jamais. Semée d'embûches (l'homme est marié), elle rompt sa liaison après trois ans avec le plus grand chagrin du monde.

Elle se marie enfin avec un homme qu'elle croit fiable et solide, et met rapidement deux enfants au monde, deux fils qui constitueront les piliers de sa vie. Après quatorze ans d'un mariage décevant pour cause de trahisons et de mensonges auxquels on ne penserait même pas, elle divorce, la mort dans l'âme.

Avec ses parents devenus âgés, les soucis et chagrins s'amoncellent. Elle frôle même le spectre de l'euthanasie, alors interdite, dans le cas désespéré de sa maman.

Mais loin des tristesses et des regrets: la deuxième partie du récit se veut bien plus déridante: péripéties, fous rires, voyages équilibreront plus ou moins sa vie cahotée.

Biographie

Monique Hoekman, née en 1933 de mère ostendaise et de père bruxellois, n'a pas connu une vie idyllique, mais avait la chance de posséder imagination, débrouillardise et courage.

N'ayant pas les moyens de continuer ses études, elle travailla dès l'âge de 17 ans comme sténo-dactylo débutante, la seule possibilité qui s'offrait à elle. Durant les quarante-cinq années qui suivirent, en changeant régulièrement d'employeurs, elle n'eut de cesse que de gravir les échelons et d'augmenter ses prétentions salariales et son savoir. En fait, elle apprit tout sur le tas jusqu'à acquérir son «bâton de maréchal», c'est-à-dire travailler pour les patrons de très grandes sociétés et, enfin, devenir gérante d'agence bancaire.

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