Rayon Littérature française
Epinards et génépi : récit

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 105 pages
Poids : 100 g
Dimensions : 14cm X 21cm
ISBN : 978-2-37640-066-0
EAN : 9782376400660

Epinards et génépi

récit


Paru le
Broché 105 pages
texte, aquarelles et cartes de l'auteur

Quatrième de couverture

Dans ce récit, Féline et Sandrine, deux femmes que tout séparait vont finir par se rencontrer. Elles ont parcouru la montagne pour se libérer de leurs tourments et, à présent, elles savent. Mais le lecteur, lui, saura-t-il ?

Il ne suffit pas de lire. Encore faut-il partir. Partir et marcher seul en pleine nature.

Une fois de plus, Alain Grinda invite à la balade dans des lieux qu'il aime : cime du Diable, Très-Crous, haute Gordolasque, Madone de Fenestre. Madone d'Utelle, villages abandonnés de Béasse en Vésubie et du Reveston en Tinée, les Quatre Cantons, le Brec d'Utelle...

Cette balade qui est un peu oubliée de nos jours au profit de la randonnée ou du trail offre une manière de marcher propice à la méditation, au lâcher-prise en harmonie avec les paysages sauvages dont l'homme a tant besoin.

Alain Grinda habite dans le Mercantour, non loin du village de Belvédère, en pleine nature dans les châtaigniers. Il conte parfois dans sa grange de l'oncle Ernest au bord de la rivière. Il a transcrit certains de ses contes dans Une semaine de contes dans le Mercantour. Il a évoqué aux éditions Baie des Anges le mystère des gravures des Merveilles dans Les Signes et les ragots de villages dans Les Racontars du Mercantour, puis avec Vésubie 666 il s'est essayé au roman policier. Par ailleurs il a relaté quelques moments heureux de sa longue marche à travers l'arc alpin sur la Via Alpina dans Les rêveries du randonneur.

Les sangàrigous...
C'est à l'entrée du Parc non loin cette ancienne vacherie adossée à un grand rocher que l'on appelle à présent la « cabane de Belle et Sébastien » que Férine avait l'habitude de venir les cueillir pour faire ses raviolis.

Sangàrigou, herbe du bon Henri ou épinard sauvage, dont le roi Henri IV aurait découvert les qualités culinaires. On le nomme sangàri ou sangàrigou dans le Mercantour, il croît dans les montagnes entre 1000 et 2500 mètres dans les anciens parcs à vaches enrichis par le fumier.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Alain Grinda

Belvédère en Mercantour

Une semaine de contes dans le Mercantour

Treize randonnées autour du mont Bégo : le silence des Merveilles

Les signes : Merveilles & Vésubie

Racontars du Mercantour

Elzé et la sorcière du château des brumes

Madone de Fenestre

Les mille et une merveilles