Rayon Récits de vie
Fortes têtes : des combats politiques aux parcours solitaires

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 223 pages
Poids : 283 g
Dimensions : 14cm X 21cm
EAN : 9782881087479

Fortes têtes

des combats politiques aux parcours solitaires

Chez Aire

Paru le
Broché 223 pages

Quatrième de couverture

Fortes Têtes

Les douze « têtes » que réunit ce livre : des hommes engagés dans un combat public, meneurs de la presse, de la politique ou des arts, et d'autres qui ont préféré le voyage ou l'errance. Parfois ces portraits se dessinent dans les turbulences des idées et des événements majeurs. Parfois nous suivons une longue trace solitaire. La musique d'une époque naît de tels contrastes, personnalités réputées ou figures discrètes, amis que l'auteur a observés en des moments cruciaux, tels Jacques Pilet dans l'aventure du Nouveau Quotidien ou Jean-Pascal Delamuraz cherchant la voie de la Suisse face à l'Europe, ou, du côté des nomades, Luigi, le berger bergamasque, ou Ralph, le navigateur américain, ou Nicolas Bouvier, le poète, suivi dans ses parcours peu connus, en Laponie et aux Etats-Unis. Douze histoires. Douze personnages pour ce petit théâtre du monde, assemblés ici dans leur quête d'un sens et le bonheur de leur polyphonie.

Les livres de Bertil Galland ont reflété sa formation de journaliste aux Etats-Unis, ses reportages dans la Chine de Mao ou dans les pays nordiques, sa ferveur pour l'Italie des arts dans son roman Luisella, mais aussi son amitié pour les poètes qu'il a publiés à sa propre enseigne dans une époque florissante de la littérature romande. Sa chronique hebdomadaire, lue dans 24 Heures, Le Nouveau Quotidien ou Le Temps, paraît maintenant dans Coopération. Nicolas Bouvier lui a dédié ses poèmes et, citant Paracelse, « Tout ce qui est pluralité est inquiétude », il a écrit : « Citoyen du monde, Bertil Galland a passé sa vie à s'interroger sur cette pluralité et cette inquiétude, pour en faire une sorte de paix. Je doute qu'il y soit parvenu. Personne n'y parviendra, mais il faut s'attacher sans cesse à cette tâche. C'est vraiment la seule qui nous rende digne de naître et de mourir. »

Avis des lecteurs

Du même auteur : Bertil Galland

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