Rayon Première Guerre mondiale
Grandeurs et misères d'une victoire

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 335 pages
Poids : 383 g
Dimensions : 13cm X 22cm
ISBN : 978-2-262-03340-8
EAN : 9782262033408

Grandeurs et misères d'une victoire


Collection(s) | Les mémorables
Paru le
Broché 335 pages
présentation de Jean-Noël Jeanneney
Tout public

Quatrième de couverture

À propos de

Le Ravin de la femme sauvage

«Il règne dans ce récit un suspense digne des Cinq Dernières Minutes. À lire d'une seule traite.»

Jérôme Béglé, Le Figaro littéraire

«Le Ravin de la femme sauvage est un livre en forme de quête. À lire avec délectation.»

Midi Libre

Au premier sang

«Un insolent témoignage, un document pointu sur notre société.»

Hugo Marsan, Le Monde des livres

«Passionnant comme un récit fantastique.»

Sud-Ouest

Dies Irae

«Un roman magistral, bref et violent comme un uppercut, cinglant comme un alcool, et qui vous ronge comme un acide.»

Richard Cannavo, Le Nouvel Observateur

«Asia colla l'écouteur à son oreille, mais s'abstint du allô ou du oui conventionnels. Elle attendit. C'était chaque fois la même chose, son coeur s'emballait, elle avait la sensation d'être une abeille engluée dans un pot de miel. Un souffle rapide émergeait de la friture. Au bout de quelques secondes, alors qu'elle allait raccrocher, l'autre se décida à parler d'une voix nasillarde et précise, qui ressemblait à un enregistrement au ralenti. Une phrase interminable, lourde de menace. C'était comme un bistouri qui taillait lentement, mais sûrement, dans le vif d'une chair. À votre place, j'irais jusqu'à la scierie sur la route de la carrière... deuxième hangar, une poupée cassée vous y attend. N'appelez pas les flics. Allez-y seule.»

Une fillette portée disparue, un drame enfoui depuis trente ans dans la mémoire d'une petite ville de province, une enquête rondement menée par un quatuor de femmes au caractère bien trempé : tels sont les ingrédients de ce thriller énergique qui, pour une fois, fait la part belle aux personnages féminins.

Danièle Saint-Bois a publié, entre autres, aux Éditions Julliard, Le Ravin de la femme sauvage (1999), Dies Irae (2005), Marguerite, Françoise et moi (2009).

À propos de

Marguerite, Françoise et moi

«La narratrice est écrivain, pas écrivaine. En bonne féministe, disciple de Yourcenar et de Sagan avec qui elle partage de surcroît le goût des amitiés particulières, elle ne supporte pas la démagogie du politiquement correct. Elle ne supporte pas non plus celui qu'elle appelle "NSP", l'hyperprésident dont l'élection, en 2007, les a désespérées, sa compagne Camille et elle. Chaque jour, elles râlent, fulminent. Avec un talent certain pour l'invective.»

Jean-Claude Perrier, Livres Hebdo

«Marguerite, Françoise et moi reprend, avec un humour jubilatoire, deux thèmes qui ont nourri bien des livres sinistres : la tristesse de ne pas être un écrivain assez reconnu et l'hommage au "grand écrivain". (...) On rit beaucoup en lisant l'autoportrait de la narratrice (...) mais on est ému aussi des portraits à la fois décapants et admiratifs de Marguerite Yourcenar et de Françoise Sagan.»

Josyane Savigneau, Le Monde des livres

«C'est un écrivain perdu, mais un grand écrivain. Dans ses romans, comme dans la vie, l'humour lui sert tour à tour de glaive pour pourfendre la bêtise ou de bouclier pour s'en protéger. Il y a par moments dans son désespoir rageur, son écriture flamboyante, sa férocité désarmée, des accents à la Céline.»

Richard Cannavo, Télé Ciné Obs

Avis des lecteurs

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