Rayon Criminalité
Histoire de la police judiciaire de Marseille

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 411 pages
Poids : 540 g
Dimensions : 14cm X 22cm
ISBN : 978-2-37254-105-3
EAN : 9782372541053

Histoire de la police judiciaire de Marseille


Paru le
Broché 411 pages
avec la collaboration de Christophe d'Antonio et Danielle Thiéry
Tout public

Quatrième de couverture

S'il y a une ville où l'histoire judiciaire a été et est particulièrement riche, c'est bien Marseille. Il suffit de citer des noms, des affaires sans aucun commentaire superflu pour faire travailler notre mémoire, ressusciter l'imaginaire collectif. Qu'on en juge : le vol des bijoux de la Bégum, l'affaire Dominici, la French Connection, Mémé Guérini, l'affaire Ranucci, Francis le Belge, Jacky Imbert dit le Mat, Roberto Succo, l'assassinat de Yann Piat, la mort du juge Michel, la tuerie du bar du Téléphone...

Sait-on encore que c'est ici qu'un certain Marcantoni - l'affaire Markovic - prit goût aux braquages après avoir tâté du fusil-mitrailleur dans les rangs de la résistance ? Se souvient-on que c'est ici qu'Alexandre 1er fut assassiné ? Sait-on que c'est ici qu'a été exécuté le dernier condamné à mort de France ? Sait-on que c'est à Marseille que l'inspecteur Canonge, de la police judiciaire, a inventé le fichier qui porte son nom et à qui nombre de malfaiteurs doivent leur arrestation ? Édité en 2011, cet ouvrage est aujourd'hui réactualisé. Alain Tourre évoque entre autres dernières affaires, la lutte contre les trafiquants de stupéfiants dans les cités et le narco-banditisme, l'arrestation de Patrick Salameh, le premier tueur en série de Marseille, l'affaire Hélène Pastor, les attaques terroristes de Nice, de la gare Saint-Charles, de Carcassonne et Trèbes, et pour cette dernière, le sacrifice du colonel Beltrame...

Biographie

Alain Tourre, inspecteur général honoraire de la police nationale, est un pur produit de la police judiciaire. Après avoir été chef de la division criminelle à la PJ de Versailles, puis de la 6e division (l'actuelle SDAT), il a été chargé de la lutte antiterroriste dans le Sud-Ouest comme sous-préfet. Il dirigea ensuite le SRPJ de Versailles, puis celui de Marseille, l'Office central des stups à Nanterre, la MILAD (Mission de lutte anti-drogue) et pour finir la cellule communication de la DGPN.

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