Histoire du chemin de fer en Creuse

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 158 pages
Poids : 706 g
Dimensions : 20cm X 27cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-490623-34-1
EAN : 9782490623341

Histoire du chemin de fer en Creuse

de

chez les Ardents éditeurs

Paru le | Broché 158 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

Depuis le début de son aventure dans le département de la Creuse en 1856, le chemin de fer a accompagné l'essor économique et social d'un territoire rural enclavé du Limousin, au rythme de projets longuement discutés et restés parfois sans lendemain.

Outre le transport essentiel de marchandises, le trafic de voyageurs a rapidement animé ces voies ferrées, ponctuées par de multiples gares, emmenant notamment chaque année les célèbres maçons creusois à Paris. En Creuse, le chemin de fer a également façonné, par ses ponts et ses viaducs remarquables, les paysages vallonnés qui, pour partie, ont inspiré les photographes et artistes peintres les plus prestigieux tels Claude Monet ou Armand Guillaumin.

Des bassins houillers d'Ahun au camp militaire de La Courtine en passant par la touristique et charmante station thermale d'Évaux-les-Bains, l'histoire du chemin de fer en Creuse se dévoile dans cet ouvrage à travers de nombreux documents, photographies et affiches inédits.

Au gré des fermetures de lignes, le chemin de fer, qui couvrait à la fin du XIXe siècle une grande partie du département de la Creuse, a vu ses gares condamnées les unes après les autres, pour n'en compter aujourd'hui plus qu'une douzaine encore en activité.

Bien loin des années fastes du début du XXe siècle, le réseau ferré et ses ouvrages d'art continuent pourtant de fasciner les amateurs comme les passionnés, qui rêvent d'un nouvel âge d'or du chemin de fer en Creuse.

Biographie

Pierre-Alain Menant est passionné par l'histoire du chemin de fer.
Il apprécie tout particulièrement les lignes rurales qu'il aime parcourir, de la Bourgogne au Limousin en passant par l'Auvergne. Pratiquant cet art où le déplacement est une partie intrinsèque du voyage, il défend un certain éloge de la lenteur, préférant voyager bercé par la douceur d'un train régional qu'happé par la vitesse vertigineuse des TGV ou des avions.