Jardins fondateurs

L'ouvrage se présente comme une succession de courts récits écrits à la première personne : il s'agit, pour l'auteur, de s'interroger sur la part et l'importance que peuvent prendre ou avoir prises certains jardins fréquentés, certains objets, certaines personnes rencontrées.

Ces jardins peuvent appartenir à des propriétés privées, être publics, renommés comme le Tiergarten à Berlin ou le Jardin des Oliviers à Jérusalem.

Les objets sont soit des objets de collection (monnaies, chouettes,...), soit d'ornements (tableaux, bougeoirs,...), soit de nécessité.

Les figures évoquées, en dernière partie, appartiennent à des êtres qui ont marqué l'enfance et le passé de l'auteur.

Ces récits peuvent être lus indépendamment les uns des autres et sont destinés à provoquer une résonance complice chez le lecteur.