Rayon Poésie
Je ne voudrais rien qui mente, dans un livre. Défends-toi, Beauté violente !

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 311 pages
Poids : 348 g
Dimensions : 20cm X 20cm
ISBN : 978-2-08-123197-9
EAN : 9782081231979

Je ne voudrais rien qui mente, dans un livre


Collection(s) | Poésie
Paru le
Broché 311 pages

Quatrième de couverture

Je ne voudrais rien qui mente, dans un livre.

La poésie, pour Jean-Paul Michel, est un vigoureux geste intérieur, bataillant au plus fort de l'inquiétude, cherchant et trouvant « l'or » d'une existence crue dans la turbulence même, « l'ordre et le désordre » de l'énergie créatrice [...]. La poésie, loin d'un affaissement en quelque impuissance assumée, des modes résiduels de la crainte et de la mélancolie, affirme de cette manière son audace, reconnaît sa puissance, [...] n'hésite pas devant la libre, l'honnête, la réjouissante « folie de nommer ». [...] « Manquer à la joie, écrit Michel, c'est manquer à l'être ».

[...] La célébration [...] de ce qui est [...] n'est pas tant un « calcul » rationalisant qu'une « brûlure » [...] : une passion, les flammes d'un désir, une intensité, une aveuglante, instinctive consomption d'être - laquelle, pensée au-delà de toute « signification », produit un profond sens émotionnel et ontologique. Aimer est, ainsi, le seul geste « nécessaire », donnant valeur, faisant face à tout le « mal » que nous pouvons sentir « mordre » en nous.

Il faut lire Michel. On exulte.
Michael Bishop
World Literature Today (2003).

Biographie

Jean-Paul Michel est né en Corrèze en 1948. Salué par l'ensemble de la critique, le premier volume de ses poèmes : Le plus réel est ce hasard, et ce feu, a été publié en 1997 (et réédité en 2006) dans la collection Poésie/Flammarion. Ce second ensemble donne sa pleine dimension à l'oeuvre en cours.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Jean-Paul Michel

Un feu de ces feux-ne savoir

Injonctions et censures intimes des morts

La vérité, jusqu'à la faute

Souvenir de Bordeaux : un poème, suivi de cinq lettres

Jean-Paul Michel

Bonté seconde : coup de dés