Je suis encore vivant

Quelques jours après la mort de son fils Samuel à l'âge de 20 ans, Anne Merlo découvre une lettre de lui qui commence ainsi : « Comme tu peux le constater, je suis encore vivant ! »

Bien que confrontée à la réalité.de sa mort, elle reçoit alors la conviction que non seulement celle-ci n'a pas pu l'engloutir, mais est au contraire un prolongement de la vie. Sa foi chancelante en est fortifiée. Au lieu d'être entraînée dans la propre mort de ses enfants, elle voit s'ouvrir une nouvelle voie pour elle : celle de. la vie, une vie qui commence véritablement ici.

Anne Merlo nous invite d'abord à quitter l'état de morts vivants dans lequel la souffrance, bien présente dans nos vies, peut nous avoir plongés ; puis conduit son lecteur à poser les choix de vie indispensables afin d'avoir accès à la véritable joie de vivre.

« Nous devons nous donner l'autorisation de continuer à vivre et leur donner l'autorisation de continuer leur vie indépendamment de la nôtre, en les sachant bien vivants. Le départ de nos bien-aimés, au lieu de nous figer sur place, enfermés dans nos souvenirs, doit au contraire nous déterminer à nous mettre en route à la recherche de la vie inaltérable qui est en nous pour toujours. »

Face à la mort, ce livre veut être un hymne à la vie, à la victoire de la vie sur toute forme de mort. En Jésus, le Messie, nous sommes au bénéfice de Sa victoire sur la mort.

Elle résume son livre en disant : « J'ai simplement voulu aider les lecteurs à sortir de la mort pour entrer dans la Vie. »