Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 574 pages
Poids : 296 g
Dimensions : 10cm X 18cm
EAN : 9782264030504
Journal d'un écrivain
Les libraires en parlent
“Je ne veux pas être célèbre ni grande. Je veux aller de l'avant, changer, ouvrir mon esprit et mes yeux, refuser d'être étiquetée et stéréotypée. Ce qui compte, c'est se libérer soi-même, découvrir ses propres dimensions, refuser les entraves.”
“Je me suis rarement sentie aussi affreusement malheureuse qu'hier soir, vers 18h30, en relisant la dernière partie d'année. Un bavardage insignifiant, un commérage nébuleux, l'évidence de ma propre décrépitude et sur une vaste échelle. J'écris ces lignes pour le cas où je me trouverai dans le même état après un autre livre point et voilà que ce matin, en y jetant un autre coup d'œil, cela me semble au contraire un livre plein, animé, vivant. "
“Je crois pouvoir retrouver mon assurance. Cela, je me le dis sincèrement, de façon à me soutenir pendant les semaines de morne attente. Je n'ai pas besoin non plus de me préoccuper de ce que pensent les gens point en fait, je salue cette femme terriblement déprimé que je suis, dans la tête a souffert si souvent et qui était si totalement persuadée de son échec. Car en dépit de tout, je crois qu'elle est arrivée à ce qu'elle voulait faire et qu'elle mérite des éloges avec sa tête semblable à un vieux chiffon, comment a-t-elle réussi ?”
Lire ce journal, uniquement composé de ce qui a trait à la création, l'écriture et la lecture de Virginia Woolf nourrit et console celles et ceux qui ont besoin d'élan. Une lecture inspirante !
Quatrième de couverture
«J'ai lu attentivement les vingt-six volumes du Journal de Virginia Woolf et j'en ai extrait, pour ce volume, tout ce qui relève de son travail d'écrivain. J'y ai incorporé en outre trois autres genres d'extraits : d'abord les passages dans lesquels elle se sert très nettement de son Journal comme d'un instrument lui permettant d'exercer ou de mettre à l'épreuve l'art d'écrire ; ensuite des passages qui, sans avoir trait directement ou indirectement à son travail, m'ont paru s'imposer dans ce choix parce qu'ils donnent au lecteur une idée de l'impression immédiate qu'exerçaient sur son esprit telles scènes ou telles personnes ; enfin un certain nombre de passages dans lesquels elle commente les livres qu'elle est en train d'écrire.»
Leonard Woolf