L'aviation française, de 1939 à 1942 : chasse, bombardement, reconnaissance et observation. Vol. 1. D'Amiot à Curtiss

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 84 pages
Poids : 340 g
Dimensions : 20cm X 24cm
Date de parution :
EAN : 9782915239225

D'Amiot à Curtiss

de ,

chez Histoire et collections

Serie : L'aviation française, de 1939 à 1942 : chasse, bombardement, reconnaissance et observation. Vol 1

Collection(s) : Avions et pilotes

Paru le | Broché 84 pages

Tout public

15.50 Indisponible

Quatrième de couverture

L'aviation française 1939-1942

Chasse, bombardement, reconnaissance et observation

Tome I : d'Amiot à Curtiss

« Où sont nos avions ? » Combien de fois a-t-on entendu cette question, non seulement pendant les dramatiques semaines de mai et juin 1940, mais encore bien longtemps après la fin de la Campagne de France ? Et pourtant, des avions, l'Armée de l'Air en avait à l'époque, et elle avait surtout des aviateurs qui se battaient, qui se battaient même bien, surtout si l'on veut tenir compte du matériel dont ils disposaient, subtil mélange d'appareils périmés et donc vulnérables et de machines modernes aux défauts de jeunesse pas forcéments éliminés.

Grâce à ces deux nouveaux volumes de notre collection « Avions & Pilotes », nous allons donc tenter de faire un peu mieux connaître cette période dramatique de l'histoire de l'Armée de l'Air tout en rendant à notre manière hommage à tous ceux, as aux multiples victoires ou obscurs anonymes, qui en furent les acteurs.

Pour cette raison, ce livre - et le suivant - sort quelque peu de l'ordinaire puisqu'il n'est pas, comme de coutume, consacré à un seul type d'avion et à ses dérivés, mais au contraire à une présentation générale des appareils de chasse, de bombardement ou de reconnaissance, fabriqués en France ou achetés à l'étranger et utilisés par l'Armée de l'Air de septembre 1939, date de déclenchement du Second Conflit mondial, à novembre 1942, lorsque l'aviation militaire française, que la convention d'armistice avait finalement autorisée à subsister, fut dissoute.