Rayon Littérature française
L'enlèvement de Sarah Popp

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 187 pages
Poids : 248 g
Dimensions : 15cm X 21cm
ISBN : 978-2-88907-434-1
EAN : 9782889074341

L'enlèvement de Sarah Popp


Collection(s) | Domaine français
Paru le
Broché 187 pages

Quatrième de couverture

L'enlèvement de Sarah Popp

Sarah Popp, écrivaine, est en Lituanie pour un festival de littérature. Son séjour prend un tour imprévu quand, à cause de la neige, le vol de retour est annulé, puis qu'elle tombe sur monsieur Anders, son ancien voisin. Ce vieil homme aussi tendre que fou n'est pas là par hasard : il l'a traquée pour la convaincre d'écrire sur une chose qui lui est arrivée, il y a bien longtemps, dans la petite ville où elle a grandi. Sarah refuse. S'engage alors une virée rocambolesque dans la forêt lituanienne.

À sa manière malicieuse, Rose-Marie Pagnard révèle ce que risquaient, dans les années soixante, les jeunes filles amoureuses. Son roman, inquiétant, onirique et traversé de fulgurances, est autant une réflexion sur l'écriture de soi qu'une déclaration d'amour à la fiction et à son pouvoir de réenchanter la réalité.

« Mais tu es tombée sur cet illuminé, se dit-elle. Alors tu pourrais être aimable avec lui, avec l'inattendu. Ne fais-tu pas un usage très arrangeant de l'inattendu dans tes romans de fiction ? »

Biographie

Rose-Marie Pagnard a publié une quinzaine de livres, dont chez Actes Sud La période Fernandez (1988, Prix Dentan), Dans la forêt la mort s'amuse (1999, Prix Schiller), et chez Zoé J'aime ce qui vacille (2013, Prix suisse de littérature) ou plus récemment Gloria Vynil (2021). L'enlèvement de Sarah Popp souligne sa parenté avec ces écrivains du nord de l'Europe dont elle admire l'art de mêler l'humour au tragique.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Rose-Marie Pagnard

La période Fernandez : récit

Le collectionneur d'illusions

Diabelli

Janice Winter

Le motif du rameau : et autres liens invisibles

Neiges

Le conservatoire d'amour

Dans la forêt, la mort s'amuse

J'aime ce qui vacille