Rayon Pêche et chasse commerciales
L'ostréiculture en Bretagne : de 1850 à nos jours

Fiche technique

Format : Relié sous jaquette
Nb de pages : 319 pages
Poids : 700 g
Dimensions : 23cm X 29cm
ISBN : 978-2-84346-353-2
EAN : 9782843463532

L'ostréiculture en Bretagne

de 1850 à nos jours


Paru le
Relié sous jaquette 319 pages
préface François Cadoret
Tout public

Quatrième de couverture

Si l'huître se déguste le plus souvent sans apprêt, en toute simplicité, l'histoire de l'ostréiculture, elle, n'est pas un long fleuve tranquille. Des premières expériences de captage de naissain dans les années 1850 jusqu'à la reproduction des huîtres en écloserie aujourd'hui, bien des marées se sont écoulées.

Ostrea edulis, l'huître plate indigène et souveraine, a presque disparu, l'huître creuse portugaise a vécu, la Gigas japonaise l'a remplacée. Sur toutes les grèves, de la baie de Bourgneuf à Cancale, des heures dramatiques ont succédé à des périodes fastes, sur fond d'épidémies, de marées noires et de révolutions techniques, entraînant des migrations d'ostréiculteurs, toujours à la recherche d'eaux plus nourricières.

Jacques et Ronan Guillet retracent pour la première fois l'histoire méconnue de l'ostréiculture bretonne en s'appuyant sur une remarquable enquête de plusieurs années menée auprès des hommes et des femmes qui ont consacré leur vie à cet étrange mollusque hermaphrodite asynchrone.

Mets de prestige pour les uns, fruit d'un labeur et de soins incessants pour les autres, l'huître est à n'en pas douter une perle qui brille au sautoir des rivages bretons.

Biographie

En rivière d'Auray, à la hauteur de Fort-Espagnol, en juillet 1955. Plaçage depuis le chaland creux Béchy, selon la technique décrite par Gilles Le Métour dans le texte. Le second à partir de la gauche est Georges Crom, puis Anne Lavoquer, X, Alida Le Labousse et Bénoni Le Gohébel, penché, qui positionne un bouquet. À bord de ce grand chaland, trois hommes travaillent en même temps sur trois tracats différents. Le rôle de la personne à l'arrière est primordial. C'est elle qui maintient le bon écartement entre le bateau et les tracats pour que les hommes soient toujours bien placés. Photo J.-P. Cabelguen.

Avis des lecteurs

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