Rayon Economie mondiale
La Banque mondiale dans la réduction de la faim et de l'extrême pauvreté

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 171 pages
Poids : 270 g
Dimensions : 14cm X 21cm
ISBN : 978-2-35930-105-2
EAN : 9782359301052

La Banque mondiale dans la réduction de la faim et de l'extrême pauvreté


Collection(s) | Point de repère
Paru le
Broché 171 pages

Quatrième de couverture

La banque mondiale dans la réduction de la faim et de l'extrême pauvreté

La Banque mondiale est depuis toujours l'institution majeur qui aide les pays dans la mise en place des politiques de développement par l'accord de crédit à cours ou à long terme. C'est dans ce cas, qu'elle a été désignée par L'Organisation des Nations-Unies pour accompagner les Etats dans la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).

Ces objectifs du millénaire pour le développement ont pour but d'aider les pays pauvres dans la réduction de la pauvreté ainsi que ses causes et manifestations. Ceux-ci sont aux nombres de 7, dont la date butoir est 2015.

Cependant, l'évolution à mi-parcours de la réalisation des OMD laisse apparaître une situation mitigée, mais porteuse de progrès significatifs et de défis formidables. En effet, le problème de la pauvreté en Afrique n'est pas seulement celui de la faiblesse des revenus mais plutôt celui plus large de la privation humaine générale et chronique, aussi bien économique que sociale.

Ceci étant, la mise en pratique des mesures de réduction de la pauvreté et de la faim dans les pays du bassin ouest africain peut passer par la Communauté Economiques des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO).

Cependant, la CEDEAO prise comme une institution géographique pourrait assurer plus efficacement son rôle d'interface et de courroie de transmission des politiques de développement économique, donc la réduction de la pauvreté entre les institutions internationales et ses Etats membres et mieux défendre ceux-ci auprès des instances financières internationales.

La réalisation des OMD suivant son échéance actuelle est-elle plus de l'ordre des voeux pieux, ou bien relève t'elle d'une exigence en terme de changement de méthode de gestion des ressources, des politiques économiques, de développement ? Autrement dit, ne sommes nous pas entrain d'assister à l'émergence d'une nouvelles façon de penser le développement.

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