Rayon Policiers (romans ou nouvelles)
La conspiration des ténèbres

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 794 pages
Poids : 965 g
Dimensions : 16cm X 24cm
ISBN : 978-2-7491-1580-1
EAN : 9782749115801

La conspiration des ténèbres


Collection(s) | NéO
Paru le
Broché 794 pages
traduit de l'anglais par (Etats-Unis) par Edith Ochs

Les libraires en parlent

Mr Didier Coviaux (Le Comptoir des Mots)

Par son ampleur, son ambition, la virtuosité de son style et l'épaisseur de son intrigue comme de ses personnages, la Conspiration des ténèbres dépasse largement le cadre limité du genre thriller dans lequel, étrangement, ses éditeurs français semblent vouloir le contenir - à l'image de son titre tape-à-l'oeil qui n'a rien strictement rien à voir avec le titre original (Flickers, dont il faut reconnaître qu'il est intraduisible littéralement, ce terme faisant référence à un scintillement bien particulier qui apparaît sur les pellicules de cinéma.)

Conduit sous la forme d'un roman initiatique, le motif principal de l'intrigue - une enquête menée par le narrateur, un jeune homme naïf en plein apprentissage de la vie, sur un obscur cinéaste des années 20 - peut faire penser à l'Ombre du vent de Carlos Ruiz Zafon, avec le cinéma et non la littérature comme sujet d'étude, et dans une version beaucoup plus littéraire et érudite. L'élaboration de l'histoire est d'ailleurs si convaincante que Roszak parvient à rendre l'existence de Max Castle, le fameux cinéaste maudit, plus réelle et passionnante que celle de bien d'autres réalisateurs existant ou ayant existé...

Un vrai petit chef d'oeuvre, qu'il faut prendre le temps de lire pour l'apprécier à sa juste valeur.

Quatrième de couverture

Un grand thriller historique et métaphysique d'une érudition impressionnante qui, au-delà de son intrigue machiavélique, nous interroge sur le pouvoir qu'exerce sur chacun le scintillement des images cinématographiques.

En fréquentant une salle d'art et d'essai miteuse dans le Los Angeles du début des années 1960, le jeune Jonathan Gates, passionné de cinéma, est fasciné par l'oeuvre de Max Castle, un réalisateur allemand arrivé à Hollywood en 1925 et mystérieusement disparu en 1941. Jeune prodige, il a réalisé quelques films géniaux, pour la plupart perdus, avant d'être obligé de se contenter de tourner des séries B puis de tomber dans l'oubli.

L'élucidation des mystères qui entourent la vie et l'oeuvre de Max Castle va devenir une véritable obsession pour Gates. À l'issue de sa quête, qui le mènera des sommets de l'industrie cinématographique (Orson Welles, John Huston...) jusqu'au coeur des sociétés secrètes, où plane l'ombre des cathares, il apprendra l'incroyable vérité sur ce maître des illusions que fut Max Castle et mettra au jour un terrifiant complot.

Un roman devenu culte, salué par une critique unanime, et qui devrait prochainement être adapté au cinéma.

« J'ai adoré La Conspiration des ténèbres. C'est un grand bonheur pour ceux qui aiment le cinéma, le mystère et la littérature. » Martin Winckler

« Excitant et aussi terrifiant qu'un roman de Stephen King, La Conspiration des ténèbres a le pouvoir de terrifier le plus novice des cinéphiles. Une méditation épique sur le potentiel diabolique du cinéma. » Bret Easton Ellis

Biographie

Essayiste, historien, sociologue et romancier, Theodore Roszak est né en 1933. Outre La Conspiration des ténèbres (le cherche midi, 2004), il est l'auteur de cinq romans, Puces  (Seghers, 1982), Le Diable et Daniel Silverman  (le cherche midi, 2005), Les Mémoires d'Elizabeth Frankenstein  (le cherche midi, 2007), L'Enfant de cristal  (le cherche midi, 2008) et  L'Enfer des rêves  (le cherche midi, 2009). Il vit aujourd'hui à Berkeley, enseigne l'histoire à l'université de Californie et collabore régulièrement au New York Times.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Theodore Roszak

Du satori à la Silicon Valley

Le diable et Daniel Silverman

L'enfant de cristal : une histoire de la vie enfouie

La conspiration des ténèbres

L'enfer des rêves

L'enfant de cristal : une histoire de la vie enfouie