La Corse, la Méditerranée et les grands arsenaux du Moyen Age au XVIIIe siècle

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 240 pages
Poids : 573 g
Dimensions : 17cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-915410-40-2
EAN : 9782915410402

La Corse, la Méditerranée et les grands arsenaux du Moyen Age au XVIIIe siècle

de

chez A. Piazzola

Paru le | Broché 240 pages

Public motivé

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sous la direction de Michel Vergé-Franceschi | préface Jean-Baptiste Lantieri


Quatrième de couverture

La Corse, la Méditerranée et les grands arsenaux européens du Moyen Âge au XVIIIe siècle

Michel Vergé-Franceschi a réuni ici, à la demande du maire de Bonifacio, le Docteur Lantieri, et sous la Présidence de la Princesse Napoléon et du contre-amiral Georges Prud'homme, ancien Directeur du musée national de la Marine, une dizaine d'universitaires pour nous parler de la Corse, de la mer, des grands arsenaux. Michel Balard (Professeur à la Sorbonne, Paris I) et Philippe Ménard (Professeur à la Sorbonne, Paris IV) nous parlent de leurs spécialités : Gênes et Venise. Le grand arsenal de Constantinople fait l'objet d'un chapitre dû à Daniel Panzac, directeur de recherches au CNRS. Xavier Labat Saint-Vincent, jeune ingénieur à Paris IV-Sorbonne, narre l'histoire maltaise de l'arsenal des chevaliers de Saint-Jean. Si le Recteur Jean-Pierre Poussou s'intéresse aux grands arsenaux britanniques, Michel Vergé-Franceschi s'intéresse aux grands arsenaux français et aux ports corses, notamment à Calvi où Christophe Colomb n'est point né. Mais son arrière-arrière-petit-fils est venu y épouser une Calvaise, d'où le nom de « Maison Colomb » rue du Fil. Bernard et Monique Cottret, professeurs à l'IUF et à l'université de Paris X-Nanterre font état de leurs dernières recherches sur Rousseau et la Corse. François Moureau, professeur à la Sorbonne, directeur du CRLV, conclut le volume avec Voltaire qui écrivait (en le regrettant) : « Toute l'Europe est corse » (1769). Mais il était le protégé de Choiseul qui voulait faire de l'île une grande réserve de bois pour l'arsenal de Toulon, sans oublier le rôle éminemment géo-stratégique de la Corse une fois Minorque perdue par Louis XV (1763).