Rayon Policiers (romans ou nouvelles)
La dernière porte avant la nuit

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 461 pages
Poids : 492 g
Dimensions : 14cm X 23cm
ISBN : 978-2-267-04558-1
EAN : 9782267045581

La dernière porte avant la nuit


Collection(s) | Littérature étrangère
Paru le
Broché 461 pages
traduit du portugais par Dominique Nédellec

Quatrième de couverture

Cinq hommes sont liés par un pacte criminel : tous ont participé au kidnapping et à l'assassinat d'un chef d'entreprise fortuné, dont ils ont fait disparaître le corps, espérant que leur forfait reste impuni. Chacun des protagonistes évoque tour à tour le déroulement des faits, multipliant les digressions sur ses états d'âme, les mille et une misères de l'existence, égrenant souvenirs d'enfance et obsessions.

« Sans corps il n'y a pas de crime », affirme l'un des assassins : parfois cependant, la vérité parvient à remonter à la surface sous des formes insoupçonnées.

Antonio Lobo Antunes nous fait pénétrer dans la maison, l'enfance, le corps, la routine des hommes, à travers sa langue éminemment personnelle, foisonnante et poétique, qui fait résonner les voix entremêlées des vivants et des morts. Une comédie humaine allant du plus sensible au plus grotesque.

Biographie

Né en 1942 à Lisbonne, António Lobo Antunes a fait des études de médecine et s'est spécialisé en psychiatrie. Au début des années 1970, il a été envoyé en Angola où il a participé à la guerre coloniale, comme tous les jeunes hommes de sa génération. Il est aujourd'hui l'une des grandes figures de la littérature contemporaine et il a reçu de multiples prix littéraires, dont le prix Union Latine en 2003, le prix Jérusalem en 2005 et le prix Camões en 2007.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Antonio Lobo Antunes

L'autre rive de la mer

Exhortation aux crocodiles

Le cul de Judas

Traité des passions de l'âme

Que ferai-je quand tout brûle ?

Le retour des caravelles

Quels sont ces chevaux qui jettent leur ombre sur la mer ?

Bonsoir les choses d'ici-bas

La mort de Carlos Gardel

Jusqu'à ce que les pierres deviennent plus douces que l'eau