Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 170 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 13cm X 21cm
ISBN : 978-2-914932-16-5
EAN : 9782914932165
Quatrième de couverture
Tu dois - quand je est un autre con institutionnel qui semonce la sieste où l'on est. Or il n'y a rien à croire, la vie n'est pas à aimer et il n'y a que ça. Il faudrait être le pèlerin de cette plaisanterie-là ? Un livre composé d'une seule et unique phrase, ça vous écourte l'idée du temps mieux que les cinq cents livres de la lame de la Veuve. On l'imagine ou on le sait. Mais un aparté qui a sa durée gravée sur les tombes et la violence d'une insurrection vide, ou la coulée toute coltranienne des mots tel un éboulis de pierres à travers pissenlits et coquelicots ? L'homme au pétrel et l'homme à la canne, faute d'avoir les mains occupées, ont de ces étranges musiques en tête. Ils musent.
Que reste-t-il ? Un reste que sa nature de reste exempte de tout emmerdement.
Donner une chance à l'invécu de la vie.
Jacques Sicard
Être joycien en Dedalus, c'est associer l'idée du labyrinthe à la forme de la rose. Rose coupée au ras des sépales. Les épines sont inutiles puisque la phrase écrite ou l'image filmée nourrit un mépris natif à l'égard du passage à l'acte.
Le labyrinthe et la rose : le chemin enroulé sur lui-même que le parfum aère. Comme s'enfermer pour avoir de la place. Se claquemurer afin que les murs se rapprochant acquièrent soit la profondeur de la perspective soit la planéité spirituelle du tableau.
Le labyrinthe et la rose.
JS