Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 272 pages
Poids : 160 g
Dimensions : 11cm X 18cm
ISBN : 978-2-7578-4308-6
EAN : 9782757843086
Les libraires en parlent
Le Los Angeles des années 70 est ce décor de carton pâte, artificiel et fragile, mais où tout est possible, que Maria Cristina a choisi pour poser sa valise. Très tôt elle a quitté sa cabane rose au Canada, laissant derrière elle une mère tyrannique et donc, un père effacé, une soeur jalouse...Une question de survie. Partir en Californie et devenir écrivain, s'affranchir de son court passé et en faire un roman à succès, voilà l'objectif (atteint). C'est compter sans la Reine Mère, qui vingt ans plus tard (nous y sommes), l'appelle au secours pour qu'elle prenne en charge le fils de sa soeur, celle-ci ayant choisi une échappatoire plus sectaire. Terrible dilemme pour Maria Cristina, qui ayant jusque-là fait toute la place ou presque dans sa vie à la littérature, n'envisage pas d'être si concrètement confrontée au passé.
Un roman extrêmement réjouissant, tant est vif et fantaisiste le style de Véronique Ovaldé. Avec une distance amusée, elle nous raconte "ce qu'elle sait de Maria Cristina", encore une femme forte et volontaire, enchaînant succès et revers au hasard de la vie. Si l'émancipation implique aussi des renoncements, ce qui compte, c'est d'avoir rendu les choses possibles.
Quatrième de couverture
La grâce des brigands
Un soir de juin 1989, Maria Cristina Väätonen reçoit un appel de Lapérouse : la voici replongée dans les méandres de son enfance au Canada. Elle a pourtant quitté son village à seize ans. Elle est devenue un écrivain célèbre et mène une vie libre et scandaleuse en Californie. Mais, au fond, elle est restée la vilaine soeur. Il lui faudra revenir sur ses pas pour conquérir définitivement sa liberté...
« File droit dans tes bottes et n'obéis jamais. »
« Alternant humour et gravité, Véronique Ovaldé nous offre ici une splendide variation sur le thème des perdants magnifiques. »
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« La Grâce des brigands réussit la prouesse d'être aussi diablement romanesque que diablement poétique. »
Le Point