La machine à détruire : pourquoi il faut en finir avec la finance

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 180 pages
Poids : 658 g
Dimensions : 20cm X 26cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-02-153687-4
EAN : 9782021536874

La machine à détruire

pourquoi il faut en finir avec la finance

de ,

chez Seuil

Paru le | Broché 180 pages

23.00 En stock dans notre réseau
Ajouter au panier

dessin Jérémy Van Houtte


Quatrième de couverture

Les crises financières se succèdent et se ressemblent. Chaque fois, pour éviter le chaos, les États et les banques centrales interviennent. Mais que sauvent-ils ? Quel rapport cela a-t-il avec l'augmentation rapide des inégalités et de l'endettement des États, avec la dégradation des services publics, ou encore avec les résistances à travers le monde ?

La Machine à détruire revient sur ces crises et ce qui les suit, et s'interroge sur la place croissante des banques et de la finance dans nos existences. Suffira-t-il de déplacer l'argent vers des investissements plus verts ? Les solutions financières sont-elles à la hauteur de leurs promesses ? Peut-on se permettre de laisser les banques au centre du système ?

Loin de nous écraser avec des notions techniques et lointaines, Aline Fares et Jérémy Van Houtte proposent plutôt un regard limpide et des analyses drôles et documentées sur la finance, à partir d'expériences familières et vécues.

Biographie

Après un diplôme d'HEC et dix années dans la banque Dexia, Aline Fares a décidé de ne plus donner son énergie au système financier pour rejoindre celles et ceux qui luttent contre lui. Elle s'attèle désormais à transmettre son expérience pour contribuer à une reprise de pouvoir populaire sur les banques et la finance. Elle est l'auteure de la conférence gesticulée « Chroniques d'une ex-banquière ».

Jérémy Van Houtte est illustrateur. Il met principalement son art au service d'associations et de groupes militants. Son intérêt pour les questions agricoles et les pratiques d'autonomie alimentaire l'ont mené à l'élevage, à participer à la création d'une ferme urbaine, à la vie communautaire, et à un vif intérêt pour les questions d'organisation collective, qu'il pratique au quotidien.