Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 222 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 15cm X 21cm
ISBN : 978-2-35192-251-4
EAN : 9782351922514
La marche du temps
de la varlope à l'épaulette
Quatrième de couverture
De la varlope à l'épaulette
La marche du temps
Henri Chemin a vu le jour à l'heure où la Seconde Guerre mondiale éclatait et allait le priver d'un père retenu prisonnier en Allemagne. A Montgibaud en Corrèze, le petit garçon a grandi à l'ombre de son bon gros chêne auquel il confia bien des secrets... A l'école du village, il apprit vite et bien avant de réussir aux épreuves du Certificat et d'entrer en apprentissage dans un atelier de menuisier. Allait-il passer son existence dans les copeaux à manier la varlope ?
A vingt ans, à Brive-la-Gaillarde, Henri Chemin choisit de servir dans la Gendarmerie nationale. Commence alors une belle carrière où il gravira tous les échelons et se fera honneur comme il l'avait promis à son instituteur.
Après une affectation dans le Nord de la France où il assure la police de la route sur la Nationale 1 et affirme ses dispositions pour les enquêtes judiciaires, Henri Chemin retrouve son Limousin à Royère-de-Vassivière. Commandant de brigade à Evaux-les-Bains puis à Felletin, il rejoint Périgueux où il sera major adjoint au commandant de compagnie.
Il y connaîtra l'épilogue heureux d'une affaire judiciaire de portée nationale... et le traumatisme affectif causé par la perte de deux camarades et de deux gendarmes de la brigade de Saint-Astier tués dans une mission de secours à la personne et de protection d'un lieu public.
Le lieutenant Henri Chemin sera affecté, par la suite, au commandement de la compagnie de Confolens. Il y côtoie deux personnages d'exception : le député André Soury et le président du prestigieux festival international de folklore, Henri Coursaget. La conduite de l'enquête de trois affaires criminelles témoigne de son attrait constant pour la police judiciaire. Capitaine puis commandant, il terminera son parcours au centre de la France à Saint-Amand-Montrond.
En 1994, Henri Chemin fait valoir ses droits à retraite. Une participation active à la réserve citoyenne suivra. Il se retire à Saint-Julien-la-Genête, une charmante localité creusoise où il oublie l'épaulette pour le stylo et nous offre de nombreux romans à succès.
Aujourd'hui, l'officier supérieur de la Gendarmerie nationale nous ouvre son coeur et nous livre ses confidences... celles d'un homme qui a toujours privilégié la prévention à la répression.
Un bel exemple sur la Marche du temps...