Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 345 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 15cm X 21cm
EAN : 9782914474498
La mort d'un forçat
Quatrième de couverture
Le succès sans précédent de Rouget le braconnier, publié sous forme de feuilleton dans un journal à 5 sous : Le Petit Angevin, en 1887, encouragea Charles de Saint-Martin, son auteur à en écrire une suite qu'il trouva tout naturellement dans la condamnation du héros qui termina sa vie au bagne de Cayenne au terme d'un procès retentissant qui souleva les foules en 1857.
Il l'intitula Mort d'un forçat.
On lit ces 250 pages, chapitre après chapitre, avec un intérêt grandissant. Elles apportent des rebondissements inattendus et des scènes poignantes dans un décor changeant, aux descriptions précises et poétiques qui correspondent aux sentiments que l'on éprouve en suivant les personnages qui restent humains et vrais tout au long de l'intrigue.
Rouget le braconnier, condamné aux travaux forcés à perpétuité le 12 février 1857, est donc emmené, en voiture cellulaire par les gendarmes Michel de la brigade de Durtal, Jaberg de Précigné et Moreau de Daumeray qui l'avaient arrêté après une chasse à l'homme qui dura deux ans, au bagne de Rochefort d'où il sera dirigé sur Cayenne par le prochain bateau.
Au bagne, il perd toute identité et on lui attribue le n° 36. Il est au désespoir, prêt à se résigner... C'est sans tenir compte de l'amitié que lui porte Carrou, dit Potard, un homme intelligent, fort et risque-tout, qui n'a qu'un but : sauver Rouget.
Je ne vais pas, vous vous en doutez, dévoiler ses plans, d'autant plus que le titre lui-même, n'est peut-être pas aussi explicite que l'on pourrait croire.