La petite musique de Saoû : Saoû chante Mozart

Fiche technique

Format : Relié
Nb de pages : 132 pages
Poids : 500 g
Dimensions : 21cm X 3cm
Date de parution :
EAN : 9782909282701

La petite musique de Saoû

Saoû chante Mozart

de ,

chez la Mirandole

Paru le | Relié 132 pages

Tout public

22.87 Indisponible

avec la collaboration de Alain Balsan, Philippe Ferré, Jacques Henry | avec la collaboration de Philippe Ferré


Quatrième de couverture

Cet ouvrage est issu de rencontres. Rencontres multiples dans un lieu singulier.

Ce fut tout d'abord il y a onze ans, sur une initiative d'Henry Fuoc, la rencontre en toute simplicité (tenue de soirée non exigée) d'un petit village de la Drôme, Saoû, avec la musique de Mozart. Ce festival consacré à Mozart, unique en France - la haute qualité de son programme lui permet de figurer dans le répertoire de la Fédération Française des Festivals Internationaux de Musique -, rassemble aujourd'hui 5000 spectateurs ; l'une de ses spécificités est la très grande diversité de son public venu de tous horizons. Mozart devient (ou redevient ?) «populaire» au sens noble du terme. Alain Balsan nous en raconte l'histoire.

C'est ensuite la rencontre d'un peintre avec un paysage. En effet, la situation de Saoû, seule porte d'accès à une forêt atypique - dont l'histoire est liée à celle de Burrus - prise dans un écrin de rochers et de falaises, est des plus insolites ; elle ne pouvait que saisir le regard du peintre Tardy qui, par ses tableaux, nous en propose une autre lecture. De ce lieu, il a perçu l'extrême force comme l'extrême fragilité, il a capturé la fugacité des couleurs par lui seul visibles. Et c'est avec cette même acuité qu'il a observé les musiciens qui chaque été envahissent la place : des toiles, s'échappe encore la musique de Mozart...

Mozart, dont le plus souvent la légende a gardé l'image de l'enfant et oublié l'homme ; Philippe Ferré évoque l'homme en perpétuelle quête derrière le musicien.

Mozart, Saoû, Yvon Tardy, il fallait quelqu'un pour les rassembler et nous les offrir de la sorte, et ce ne pouvait être que Pierre Vallier. Homme sensible et raffiné, dont le regard est comparable à celui du peintre, il sait par les mots nous restituer la vie, nous rendre perceptibles les sons, les odeurs, nous expliquer les couleurs et tout ce que l'on n'a pas su voir de nos yeux trop pressés ou écouter de nos oreilles trop distraites. Il a voulu par ce livre rendre hommage à son ami Yvon Tardy, aux musiciens et aux mélomanes.

Le bonheur du partage pourrait en être le mot clef.