Rayon Littérature française
La Vénus aux fleurs

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 254 pages
Poids : 314 g
Dimensions : 14cm X 21cm
EAN : 9782914569217

La Vénus aux fleurs


Paru le
Broché 254 pages

Quatrième de couverture

Un restaurateur de tableaux du Louvre se retrouve en présence de Vénus, tout droit sortie de la toile grandiose du peintre italien Botticelli. La jeune femme s'appelle Ysé de Saint-Pierre, nom de l'apôtre qui décide de la destination (Purgatoire, Paradis ou Enfer) des âmes après la mort.

Conséquence logique : le héros du livre tombe aussitôt amoureux d'Ysé de Saint-Pierre qui l'invite à restaurer son âme tout en restaurant le tableau de Botticelli !

"Cérésa est époustouflant". Le Figaro Magazine

"Don du calembour prodigué sans effets de manches, art du portrait qui laisse le lecteur admiratif, magie du verbe grâce à l'accouplement inattendu des mots, moraliste sans avoir l'air d'y toucher, chic et vulgaire ; fou de vocabulaire, fantasque, érudit, manieur d'imprévus, d'aphorismes, d'horreurs, François Cérésa est (et possède) tout cela". Le Monde

"L'art débouche sur la démence, et la restauration, impossible et dérisoire, sur le vide. Celui de sa propre vie. La Vénus aux fleurs est le roman de l'imposture de l'art, symbole naturellement de celle de toute vie humaine. Un roman peu ordinaire". Elle

"Vilipendé ou porté aux nues, Céline demeure le plus fascinant des parias. Ce défi, François Cérésa a eu l'audace de le relever. Avec succès". L'Express

"Par cet hommage à Céline, François Cérésa, sans réhabiliter pour autant la teneur idéologique de Bagatelles pour un massacre, rappelle-que ce chef-d'oeuvre se lit encore sous le manteau. Tant la honte est tenace, et l'art au-delà de l'humain". Le Magazine Littéraire

Avis des lecteurs

Du même auteur : François Cérésa

Les vampires du Brionnais

Eloge du contraire

Le petit roman de la gastronomie

Le Guerrier de cristal

Tant qu'il y aura du rhum

Marius ou Le fugitif

Les moustaches de Staline

Cosette ou Le temps des illusions

Antonello, Léonard de Vinci et moi

Les amis de Céleste