Rayon Christianisme
La vie du vénérable père François Libermann

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 190 pages
Poids : 215 g
Dimensions : 14cm X 22cm
ISBN : 978-2-296-05987-0
EAN : 9782296059870

La vie du vénérable père François Libermann


Paru le
Broché 190 pages
trad. du hongrois Georges Kassai et Gilles Bellamy
préface Paul Coulon
Tout public

Quatrième de couverture

La vie du Vénérable

Né en 1802 à Saverne, cinquième fils du rabbin Lazare Libermann, François (Jacob) Libermann se convertit au catholicisme en 1826 et fut admis au séminaire de Saint-Sulpice en 1827. Empêché par ses crises d'épilepsie d'accéder à la prêtrise, il accomplit diverses tâches aux séminaires d'Issy-les-Moulineaux et de Rennes, avant de concevoir, avec deux de ses compagnons, le projet de l'évangélisation des esclaves noirs des anciennes colonies françaises. Approuvé, après bien des difficultés, par le Pape Grégoire XVI, le projet fut mis en place après l'ordination de Libermann, en 1841. Par la suite, Libermann fonda l'institution du Saint-Coeur de Marie et dirigea plusieurs expéditions de missionnaires. En 1848, la Société du Saint-Coeur de Marie fut intégrée à la Congrégation du Saint-Esprit dont Libermann est considéré comme étant le second fondateur. Décédé en 1852, Libermann est déclaré Vénérable de l'Église catholique en 1910.

Écrit en 1939, le récit passionnant d'André Németh inscrit cette vie à la fois douloureuse et glorieuse dans l'histoire mouvementée de son époque tout en s'interrogeant sur l'intervention du surnaturel dans la vie de l'individu.

Biographie

Né en 1891 à Celldömölk (Hongrie), André Németh, en voyage d'études à Paris en 1914, fut interné à Noirmoutier et à l'île d'Yen pendant toute la durée de la guerre de 1914-1918. Libéré, il vécut successivement à Vienne et à Budapest. Critique littéraire, auteur de plusieurs biographies romancées consacrées à Metternich, Marie-Thérèse d'Autriche, Napoléon III, la Commune de Paris, etc., il passa la deuxième guerre mondiale en France où il publia en 1947, chez Vigneau, son Kafka ou le mystère juif. Rentré en Hongrie, il fut nommé directeur de la revue littéraire Csillag (Étoile). Contraint de démissionner en 1950, il mourut en 1953. Son oeuvre, partiellement rééditée en 1973, comprend de nombreux inédits, dont La vie du Vénérable Père François Libermann que ses traducteurs ont reconstituée avec l'aide du Père Paul Coulon.

Avis des lecteurs

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