Le bruit court que je suis mort

Ce livre est un «essai éditorial», d'autoportrait (donc introspectif) et un début d'examen de conscience, périodique, triennal, graphique. Par ailleurs je suis très croyant et je le clame. Et donc, la mort, je m'en amuse (déjà !) Je cherche un équilibre entre la connaissance de soi et la qualité.

Ce texte n'est Absolument pas à l'image du livre, des cahiers. Ouvrez le livre plutôt !

Je tiens à remercier mon ami Tristan Tz. qui m'a aidé à me défaire d'une anti-identification à André Br. On verra que je rends en plusieurs occasions hommage à Re:né Daumal : pourquoi ? Parce qu'il a été un génie, et qu'il n'a pas cherché à développer un réseau identificatoire autour de lui. Mais fut-il capable, seulement, de développer cette fausse identification à soi-même ?

C'est trop osé, vraiment, d'appeler ce livre un manifeste, disons plutôt un fanzine-promenade graphique. Je crois encore au livre, à la revue, et aux installations faites de petits camions de pompier et de petites billes en terre.