Le cantique de l'échiquier

Avec le présent « essai de poétique », Pierre Robert d'Alreba ouvre le troisième grand volet de « l'Échicosophie »

Empruntant la « voie impaire » sur laquelle prend naissance « Le Sensible », c'est toujours en pythagoricien, attaché à la pluridisciplinarité, que l'auteur de L'échiquier révélé et de L'homme Égypte continue d'innover.

Déroulant ici le fil d'Ariane de « la poétique », il poursuit ses investigations relatives au grand plan subtil des Archétypes, des Principes, des Idées et des Nombres qui gouvernent le Créé.

Le premier apologue dépeint le continuum de création et de réintégration des mondes et pose le postulat de l'universalité de la Loi du Bâton premier qui ordonne le Vivant, et dont le module fonctionnel est le diagramme de l'échiquier.

Le second, L'Homme terre sainte, décrit la quête de l'individualité incarnée dans son corps-échiquier aspirant à devenir une « terre pure ».

Le Commentaire qui constitue la Deuxième Partie du livre explore en détail cet étrange diptyque qui met en parallèle Macrocosme et Microcosme sous l'angle de l'Échicosophie, où philosophie et ésotérisme doivent, pour acquérir valeur de preuve, être étayés de clés mathématiques.

En dernière Partie, un lexique précise un certain nombre de concepts inédits de l'Échicosophie.