Rayon Transport ferroviaire
Le chemin de fer de Saint-Nazaire au Croisic et à Guérande : de 1865 à nos jours : Saint-Nazaire, Saint-André-des-Eaux, Pornichet, La Baule-les-Pins, La Baule Escoublac, Le Pouliguen, Batz-sur-mer, Le Croisic et Guérande

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 240 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 16cm X 24cm
EAN : 9782951989849

Le chemin de fer de Saint-Nazaire au Croisic et à Guérande

de 1865 à nos jours
Saint-Nazaire, Saint-André-des-Eaux, Pornichet, La Baule-les-Pins, La Baule Escoublac, Le Pouliguen, Batz-sur-mer, Le Croisic et Guérande


Collection(s) | Archéologie ferroviaire
Paru le
Broché 240 pages
préface Vincent Maumy
Public motivé

Quatrième de couverture

La ligne est inaugurée le 11 mai 1879. Dix années ont été nécessaires à la construction de trente kilomètres de voie unique. La région traversée est particulièrement plate. Seuls les marais ont constitués une difficulté technique. L'entrave principale est l'administration. Elle met cinq années à définir le profil de la ligne d'Escoublac au Pouliguen et à Guérande. La personnalité du promoteur - Simon Philipart - a suscité l'inquiétude des élus. La rumeur est amplifiée par la Compagnie du PO qui trouve là un intérêt pour éliminer un concurent.

Après avoir été reprise par l'Administration de l'État, la ligne fait partie de la Compagnie du PO dès 1883. La guerre de 1914-1918 et surtout le débarquement des troupes américaines à Saint-Nazaire dès 1917 transforment le paysage ferroviaire.

La paix revenue, la population cherche les Bains de Mer. Louis Lajarrige développe son lotissement du Bois d'Amour - aujourd'hui La Baule-les-Pins. Les baigneurs doivent escalader le talus du chemin de fer avant de plonger dans les vagues. Louis Lajarrige s'entend avec la Compagnie du PO pour que cette dernière déplace la voie de chemin de fer depuis la sortie de Pornichet.

Deux nouvelles gares sont construites en 1927: La Baule-les-Pins et La Baule-Escoublac. Louis Lajarrige croyait en avoir fini avec les lenteurs de l'Administration. Il lui faut patienter sept années pour entrer en possession des terrains que lui abandonne le chemin de fer.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Jean-Pierre Nennig