Rayon Archéologie historique et épigraphie
Le cimetière des Chevrettes à Chambon (Indre-et-Loire) et le groupe de Chambon

Fiche technique

Format : Relié
Nb de pages : 115 pages
Poids : 800 g
Dimensions : 22cm X 31cm
ISBN : 979-10-90534-27-8
EAN : 9791090534278

Le cimetière des Chevrettes à Chambon (Indre-et-Loire) et le groupe de Chambon


Collection(s) | Dossier du Pays chauvinois
Paru le
Relié 115 pages
sous la direction de Max Aubrun
Public motivé

Quatrième de couverture

La « culture de Chambon » fut créée en 1967 par Gérard Bailloud au vu des deux vases publiés (Cordier 1963) et des vases encore inédits du site des Chevrettes à Chambon (Indre-et-Loire) (fig. 8, n° 1 et 2). Celui-ci, tout en rapprochant ce site de celui de La Goumoizière à Saint-Martin-la-Rivière (Vienne), n'en dissimulait cependant pas la lacune principale : « Dans les deux sites, le matériel lithique est à peu près inexistant ; la tombe de Chambon indique simplement l'usage de flèches à tranchant transversal ». « La céramique constitue un ensemble parfaitement original » où les « décors en moustaches » étaient remarqués notamment par Étienne Patte. Mais « sans doute, concluait G. Bailloud, est-il prématuré de discuter des affinités précises de cet ensemble culturel avant que la totalité du matériel soit publiée ». En dépit de cette prudente réserve partagée par la suite par divers auteurs, la « culture de Chambon » ou « groupe de Chambon » fit son chemin au-delà des espoirs de son inventeur et du fouilleur du site éponyme. Ceci, tantôt à la faveur de la relance des études sur le Néolithique promue par G. Bailloud, tantôt par une divulgation prématurée due à certains auteurs ayant quelque peu confondu communication personnelle et référence bibliographique. Le tout pour aboutir à une savante confusion qu'on ne manquera pas d'expliquer par un retard de publication.
Gérard Cordier

La dimension codicillaire de cette publication en constitue tout l'intérêt ; elle complète et justifie l'oeuvre du chercheur Gérard Cordier. Les textes fournis n'ont été soumis qu'à une relecture d'usage pour ne pas trahir sa pensée.
Max Aubrun,
Conservateur des musées de Chauvigny

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