Rayon Thrillers/Suspense
Le codex de Syracuse

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 492 pages
Poids : 655 g
Dimensions : 16cm X 24cm
EAN : 9782743612788

Le codex de Syracuse

Chez Rivages

Collection(s) | Rivages-Thriller
Paru le
Broché 492 pages
traduit de l'américain par Freddy Michalski

Quatrième de couverture

Danny Kestrel encadre les oeuvres des grands noms de l'art contemporain pour tout ce que San Francisco compte de milliardaires. C'est au cours d'un vernissage chic qu'il rencontre Renée Knowles, dont la beauté n'a d'égal que l'état d'ébriété avancé. Danny se propose de la raccompagner. Mais, alors qu'il se gare devant chez elle, la jeune femme s'offre à lui. Quand il repartira au petit jour, il n'entendra pas le coup de feu qui met fin à l'existence de l'énigmatique Renée.

Depuis cette nuit fatale, Danny se trouve plongé en plein cauchemar. Le mari de la victime tient à faire sa connaissance, l'inspecteur Bowditch - spécialiste des «interrogatoires métaphoriques» - tient à lui coller le crime sur le dos, et le milieu de l'art le tient à distance. Sans parler du trio de tueurs dingues qui le kidnappent pour lui réclamer quelque chose que Renée Knowles lui aurait donné. Ce quelque chose n'est autre que Le Codex de Syracuse, un ouvrage antique d'une valeur inestimable, qui relate la vie du fils naturel de l'impératrice de Byzance, Théodora. Le codex, comme Danny ne va pas tarder à s'en apercevoir, est l'objet de convoitises multiples et pousse tous ceux qui veulent s'en approcher aux comportements les plus extrêmes. Entre les personnages du codex et ceux du roman s'établissent de troublants parallèles...

Récit antique et thriller machiavélique, roman satirique sur la décadence et la cupidité, Le Codex de Syracuse est un tour de force qui se lit entre le rire et l'effroi.

Avis des lecteurs

Du même auteur : Jim Nisbet

Traversée vent debout

Le codex de Syracuse

Prélude à un cri

Le chien d'Ulysse

Petit traité de la fauche

Prélude à un cri

Un moment de doute

Injection mortelle

Les damnés ne meurent jamais

Sous le signe du rasoir