Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 445 pages
Poids : 456 g
Dimensions : 14cm X 20cm
ISBN : 978-2-9533664-3-3
EAN : 9782953366433
Le dernier stade de la soif
Les libraires en parlent
Personnage singulier, maladroit, paroxystique ( ! ) et fichtrement attachant
Avec cette autobiographie d'un raté, alcoolique au dernier degré, coureur de jupons, passionné des Giants de New York, écrivain foireux, Exley nous entraîne - entre deux séjours en hôpital psychiatrique - au fond d'une Amérique dont il dénonce admirablement les dérives.
Inédit en France, ce roman culte américain est désespérément drôle et poignant.
Livre culte de la fin des années 60, Le dernier stade de la soif est enfin accessible en traduction française grace au magnifique travail des éditions Monsieur Toussaint Louverture.
Dans la grande tradition américaine du genre "autobiographie déglinguée de la déréliction", Exley trouve sa place quelque part entre Henry Miller, J.K. Toole et Bukowski : une lucidité implacable au service d'un humour terrible et d'une radiographie de la modernité américaine... fascinant.
Quatrième de couverture
Frederick Earl Exley (1929-1992) est à la fois unique et emblématique. (...) Unique, car il habitait un univers étrange et n'obéissait à aucune règle ; emblématique car, en écrivain américain typique, sa légende s'est faite sur un seul livre. (...) Inédit en France, le dernier stade de la soif est considéré comme un livre culte depuis sa publication en 1968. (...) Avec mordant et poigne, Exley décrit les profonds échecs de sa vie professionnelle, sociale et sexuelle. (...) Ses tentatives pour trouver sa place dans un monde inflexible le mènent aux quatre coins du pays, mais surtout à l'hôpital psychiatrique d'Avalon Valley. (...) Au gré des bars, des boulots et des rencontres improbables, l'obsession d'Exley pour la gloire, les New York giants et leur joueur star, Frank Gifford. grandit. (...) Dans ses mémoires fictifs, en plongeant la tête la première dans ce « long malaise » qu'est sa vie, Frederick Exley transforme la dérive alcoolisée d'un marginal en une épopée renversante. (...) Chargé en grande partie de ce qu'il appelle « les fardeaux du chagrin » et de catastrophes ordinaires, ce premier roman est un époustouflant voyage littéraire. (...) C'est drôle. (...) C'est touchant. (...) C'est à la fois Nabokov et Bukowski et Richard Yates et Thomas Bernhard.